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Rythme d'origine afro-uruguayenne exécuté par des tambours de trois tailles différentes : le chico, le repique et le piano.
Il s'accompagne d'une danse qui comporte un pas caractéristique et qui se nomme aussi Candombe. Actuellement, cette musique est jouée par des orchestres regroupés selon les quartiers des villes : les comparsas, ou sociedades de negros y lubolos. On l'entend pendant les fêtes religieuses ou patriotiques, en fin de semaine et, bien sûr, lors du Carnaval de Montevideo (les Llamadas). Historiquement, cette pratique culturelle, en Uruguay comme en Argentine, est celle des esclaves africains qui recréaient les danses et musiques, ainsi que l'esprit, de leurs sociétés d'origine, invoquant les ancêtres et couronnant leurs propres rois durant la danse.
Il y avait trois cultes principaux : San Benito, le saint noir ; Baltasar, le roi mage ; la Vierge du Rosaire, mariant de cette façon les traditions africaines à la religion des blancs. C'était aussi une façon d'échapper pendant quelques temps au contrôle absolu de la société esclavagiste. Le Candombe exprime aujourd'hui l'unité culturelle et sociale de la société uruguayenne et, dans un sens élargi, des peuples du Rio de la Plata.
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