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Frédéric Mistral, principal artisan de la renaissance de la langue d'oc - du milieu du XIXe siècle jusqu'à la première guerre mondiale -, obtint, en 1904, le Prix Nobel de littérature pour l'ensemble de son oeuvre en langue provençale.
Calendau, que Mistral mit sept années à écrire, parut pour la première fois en 1867 et valut au poète de Maillane d'être taxé de « séparatisme ».
En effet, Frédéric Mistral - avec le talent multiforme qu'on lui connaît mais qui surprend toujours quand on lit ou relit ses oeuvres - met en scène, au long des XII chants, la Provence elle-même et son histoire et sa civilisation spécifiques au travers des aventures du marin de Cassis - Calendal, amoureux de la princesse des Baux - l'Esterello - et de son irréductible ennemi, le comte Sévéran...
L'oeuvre est présentée en version bilingue provençal-français, dans sa graphie "mistralienne" d'origine, avec les précieuses notes de l'auteur (ainsi que la traduction en français, également due à Frederi Mistral).
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