"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Avec l'Exposition universelle de 1958, Bruxelles devint pour un temps le centre du monde. L'événement se voulait exemplaire d'une époque qui croyait éperdument en un avenir radieux basé sur le progrès illimité de la science.
Si elle fut bien une machine à rêves - son évocation agit toujours tel un baume sur les cicatrices urbaines -, P.-J. Tribot explique sa magie par l'envergure des techniques et technologies mises en oeuvre à l'époque, et leur influence sur l'esthétique dans de nombreux domaines : architecture, photographie, design et arts décoratifs pour ne citer qu'eux.
L'auteur aborde l'Exposition sous différents angles. Son organisation, la présentation de ses différents pavillons, ses multiples attractions, mais analyse aussi l'impact essentiel de l'événement sur la ville, la transformation profonde de l'espace urbain et la modernisation des infrastructures. Il fallait avant tout faire place, comme l'annonçait le plan général, à " la première exposition mondiale de l'ère atomique ".
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