L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Remise au goût du jour par Quentin Tarantino et son Jackie Brown, la blaxploitation reste le genre majeur du cinéma américain des annèes 70. Alors que les Noirs ont été relégués à des rôles secondaires et caricaturaux durant les quelques 60 premières années du cinéma américain, les années 70 vont voir un soudain changement de perception de la communauté afro-américaine. Surprise! Les producteurs hollywoodiens découvrent que les Noirs sont aussi des spectateurs et peuvent donc leur rapporter gros. Soudainement, les Afro-Américains se mettent à tenir les premiers rôles de productions musclées où les héros règlent leur compte à une société raciste, de films d'horreur imitant les succès d'hier ou de western inversant les formules du genre. Le tout sur une atmosphère funky de haute volée. La blaxploitation était née. Oscillant entre films mercantiles et oeuvres véritablement engagées, la blaxploitation est un courant protéiforme qui donna à la communauté noire-américaine ses premiers grands héros et qui permit aux majors de garder la tête hors de l'eau.
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