L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
L'appropriation est un phénomène à double face : négatif, quand il est un moyen de s'accaparer des biens, des territoires, des pouvoirs, mais positif, quand il est un processus de recyclage qui réactualise ce qui a été oublié.
Dans les années 1960, les artistes s'approprient des objets usuels qu'ils transforment, révélant la puissance inventive du quotidien. Dans le domaine architectural et urbain, durant la deuxième moitié du XXe siècle, l'appropriation s'est développée contre des conceptions fonctionnalistes et autoritaires de l'espace, générant des projets collectifs qui refusaient de dissocier l'habitat de l'habiter. Au tournant du siècle, le déficit persistant de logements, la globalisation, les flux migratoires, l'urgence écologique suscitent de nouvelles pratiques appropriatives de l'espace et du temps qui sont regardées comme des pôles de résistance, ou des embryons de villes futures : Occupy Wall Street, Indignados, Printemps arabes, l'installation de zones à défendre (ZAD), les squats (de subsistance), les campements de SDF ou les « occupations potagères » (jardins d'utopie). Qui sont donc les acteurs de ces appropriations ? Quelles sont leurs formes spatiales, les territoires concernés ? Quels sont les liens entre ces appropriations et les réseaux sociaux ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique