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Après 10 volumes consacrés à des auteurs étrangers, la collection « Ainsi parlait » s'ouvre au domaine français. Et c'est pour marquer le 10 e anniversaire de la mort de Léon Bloy, le 3 novembre 2017. C'est l'écrivain Yves Leclair qui assure le choix et la présentation des 400 fragments, recueillis dans l'immensité de cette oeuvre, si souvent citée et si peu connue tant elle est variée et déconcertante par son caractère direct, intempestif voire polémique.
On sait ce que des écrivains majeurs de la modernité comme Céline, Bernanos ou Ernst Jünger doivent à Léon Bloy. Mais qui ose se lancer dans la lecture de ses terribles romans, de son torrentiel journal, de ses extravagants pamphlets, de ses innombrables lettres ? Bloy est l'ancêtre de tous les indignés, les insoumis, les désespérés. Son écriture est brûlante de ferveur et de colère.
Frère en cela de Péguy dont il habita la maison de Bourg-la-Reine après la mort au front. « Vous me conseillez de m'avilir pour gagner de l'argent, écrit-il. Vive la misère ! » La misère, il l'a eue, mais son oeuvre nous reste, éclatante d'énergie et magnifique de liberté. Lisons-la !
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