L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La crise de l'Etat providence s'alimente aujourd'hui d'un soupçon : le transfert de ressources en direction des plus défavorisés n'encourage-t-il pas les comportements irresponsables? N'est-il pas, au fond, la cause des maux qu'il prétend guérir? Pour répondre à cette accusation, certains égalitaristes ont tenté d'infléchir la théorie de la justice grâce au principe de responsabilité : oui à la compensation des inégalités dues au hasard, non à celle des inégalités qui sont la conséquence de choix différents. La justice sociale résiderait donc dans une neutralisation du hasard qui laisserait en revanche les individus assumer la responsabilité de leurs options personnelles. Les difficultés insurmontables auxquelles se heurte cette suggestion indiquent cependant qu'il convient de l'abandonner et qu'une société juste prétend, non pas traiter chacun en fonction de ses actes, mais garantir à tous les bases d'un fonctionnement autonome.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique