L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Un extrait : « A la croix, l'amour a étendu les bras. A Pâques la mort a baissé les bras. Toute existence se reçoit de cette offrande où la mort est abolie par l'amour. " Les mots glissent doucement vers l'âme, la vie pénètre, la beauté nourrit. Francine Carillo les tisse, marie à chaque page le profane au sacré. Les mots ! « Ce sont des ponts au-dessus de l'abîme, dit-elle. J'écris pour passer d'un endroit à l' autre. Souvent la nuit, dans ces moments où notre vie est colonisée par les forces de l'ombre. C'est une traversée pascale. » Tribune de Genève.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique