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Qui se souvient qu'entre 1968 et 1970, une pandémie de grippe aurait fait 4 millions de morts dans le monde, dont plus de trente mille en France ?
Personne ou presque, y compris parmi le personnel soignant de l'époque. Cette grippe, dite de Hong Kong, a pourtant bloqué des pans entiers de l'économie de l'Hexagone et endeuillé de nombreuses familles. Des usines, des écoles ont été fermées, non pas à cause du confinement, mais faute de salariés, d'élèves ou de professeurs... Tous grippés !
50 ans plus tard, la crise du Covid-19 réveille les mémoires sur la troisième plus importante pandémie du 20 e siècle. Elle nous permet aussi de mieux comprendre ce qui a changé dans la gestion d'une pandémie, entre 1968 et aujourd'hui, sur notre rapport à la mort et la couverture médiatique.
Reste la question : pourquoi une telle indifférence ? La fin des années 1960, a été un moment de bascule dans le monde occidental : une société marquée par la seconde guerre mondiale et la guerre d'Algérie, plongée dans le tourbillon de« mai 68 », et qui découvre en 1969 que l'on peut envoyer des hommes sur la Lune...
Tout cela, on peut le lire dans les livres d'histoire. Mais il existe aussi une histoire oubliée, celle de cette pandémie.
Comme si face à tous ces bouleversements, l'être humain devait oublier ce qu'il ne parvenait pas à dominer.
Pour les épidémiologistes, la grippe de Hongkong est entrée dans l'histoire comme la première pandémie de la globalisation, à une époque où les transports aériens commençaient à se généraliser, où les échanges entre continents se multipliaient.
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