"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La pointe de l’aiguille, c’est celle de la mort.
La mort qui rôde autour de Galia quatre-vingt-huit ans.
Tous ses proches sont décédés, c’est forcément son tour.
Elle est sourde, ne voit pratiquement plus rien, à du mal à se déplacer.
Tour à tour, elle attend et repousse la venue de la mort.
Ses souvenirs et ses rêves se mêlent.
Un très beau texte sur la fin de vie, une fine analyse d’un parcours qui touche à sa fin.
C’est beau et émouvant.
Mais alors, que cette lecture fut pénible à cause de la mise en page.
Des caractères minuscules et des lignes trop serrées. A peine lisible. Cela demande un effort de concentration qui gâche complètement l’intérêt de l’histoire.
145 pages qui en auraient mérité le double en aération pour rendre toute sa valeur au texte.
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