A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
Alors on ne va pas se mentir, même si j'étais plutôt intriguée par cette couverture psychédélique, j'ai été franchement déçue par le scénario de cette bd…
Je n'ai pas compris là où voulait nous emmener l'auteur, trop mystique à mon goût…
Les sujets abordés - l'écologie, les réseaux sociaux - avaient pourtant de quoi m'intéresser, mais la magie n'a pas vraiment opéré.
Une fois dit cela, les dessins sont tout en nuances, très doux. En tonalités de bleu ou rose saumon. Il se dégage des planches une impression de douceur.
Il n'y a pas de bulles de dialogue dans ce livre mais une voix off qui raconte l'histoire, ce qui ne la rend pas forcément très vivante, active…
De là une certaine distance qui enlève de la fluidité au récit.
Une écolo-fable ? Pas si sûr ! Je vous laisse juger de la chute…
Une bande-dessinée que j'avais dans ma pile à lire depuis très très longtemps. Je me souviens l'avoir achetée juste à travers sa première de couverture que je trouvais et trouve toujours superbe. Bien sur j'avais feuilleté l'intérieur rapidement et m'étais enquis de cet ouvrage.
Les années ont passé depuis son achat et je le lis enfin.
Les graphismes sont tendres, pastels, mais perturbants aussi. En fait c'est l'inadéquation entre le scénario très dur et le dessin si doux qui trouble.
On traverse sur une semaine la vie de plusieurs adolescents qui ont une existence assez perturbée, jusqu'au final terrible. La lecture de ce livre ne vous laisse pas indifférente. Et comme beaucoup l'ont déjà écrit dans leur critique, il faut beaucoup de précaution pour prêter ce livre à un ado, lui faire quelques recommandations avant.
Quelle étrange atmosphère !
Qui est Earthboi ? Un influenceur ? Un prophète New Age ? Une entité mystique ? Il partage la conscience du monde depuis sa création et va tenter d’éveiller l’humanité. Alors qu’Earthboi semble créer une utopie, l’ambiance est pesante. Nous sommes là, spectateurs, mis à distance des événements qui pourtant nous semblent si familiers. Peut-être est-ce lié à la narration qui se fait comme en voix-off, les textes se trouvant sous illustrations. Earthboi nous fascine et pourtant, on ressent à la lecture comme une peur primaire jaillissant du fond des âges.
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