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Henninot Thomas

Henninot Thomas

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Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « Le siecle phenix » de Henninot Thomas aux éditions Librinova

    Audrey Light And Smell sur Le siecle phenix de Henninot Thomas

    L’histoire…

    C’est d’abord la couverture et tout le mystère qu’elle dégage qui ont attiré mon attention. Une fois le livre terminé, je dois d’ailleurs dire que j’ai aimé la manière dont l’auteur a su mettre en avant la relation entre deux de ses protagonistes grâce au loup et à la jeune femme...
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    L’histoire…

    C’est d’abord la couverture et tout le mystère qu’elle dégage qui ont attiré mon attention. Une fois le livre terminé, je dois d’ailleurs dire que j’ai aimé la manière dont l’auteur a su mettre en avant la relation entre deux de ses protagonistes grâce au loup et à la jeune femme présents sur la couverture. Néanmoins, reprenant les codes traditionnels de la fantasy, cette dernière pourrait induire en erreur le lecteur puisque ici, point de fantasy, mais bien un thriller teinté de science-fiction.

    Thomas Henninot prend le temps de poser les bases de son histoire qui se déroule en 2172 dans un monde post-apocalyptique marqué par l’épisode de la Grande Terreur. Résultant d’une maladie, La Faucheuse, qui a fait des millions de morts, cette crise mondiale a profondément changé le paysage politique et économique français. Nous nous retrouvons donc dans une France où l’État est contraint de s’appuyer sur des personnes peu recommandables dans certaines zones du territoire, et un pays où les forces de l’ordre ont développé une éthique à géométrie variable. Quant à la population, en plus de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête, elle est soumise à des règles d’hygiène strictes…

    N’ayant pas une grande appétence pour la science-fiction, j’ai apprécié que cet aspect ne soit pas au centre de l’intrigue même si j’aurais peut-être aimé que l’auteur partage avec nous une ou deux grosses avancées technologiques. Quoi qu’il en soit, les personnes qui n’aiment pas la science-fiction ou qui craignent de se perdre dans un jargon incompréhensible seront donc rassurées sur ce point. L’auteur a, en outre, veillé à rendre son univers très accessible. Notons, en effet, un véritable effort pour ne pas assommer les lecteurs avec une avalanche de détails. C’est donc petit à petit que nous découvrons l’épisode de la Grande Terreur et comment il a profondément et durablement impacté l’humanité.

    Un nombre important de personnages pour une narration dynamique…

    Si le contexte dans lequel se déroule le roman est introduit progressivement, le nombre important de personnages pourra déstabiliser, du moins en début de lecture, certains lecteurs. J’ai, pour ma part, pris assez rapidement mes marques et ai apprécié de suivre alternativement chaque protagoniste d’autant qu’ils ont tous, à une exception près, une personnalité plutôt marquante. Cette multiplication des personnages apporte un dynamisme et un suspense certains au récit puisque l’on souhaite ardemment découvrir comment leurs routes vont finir par se croiser et s’entrecroiser…

    Évidemment, comme dans la vraie vie, j’ai eu plus d’affinités avec certains personnages que d’autres à l’instar de Juliette, la jeune héritière de la multinationale à l’origine de la découverte et de la diffusion du vaccin contre La Faucheuse. Prise pour cible dans un attentat ferroviaire, elle arrivera à fuir ses bourreaux grâce à sa meilleure amie et fera alors preuve d’une force de caractère à toute épreuve pour survivre. Dans sa fuite, elle pourra compter sur l’aide de son compagnon américain, mais c’est bien sa débrouillardise, son courage et son intelligence qui feront toute la différence face à des ennemis déterminés et prêts à tout pour la capturer. Ce personnage m’a particulièrement marquée dans la mesure où il est rare de voir dans un roman une riche héritière qui ne soit pas superficielle et qui fait preuve d’un réel altruisme. On aurait pu s’attendre à une gamine capricieuse alors qu’on découvre une jeune femme engagée qui souhaite sincèrement aider les gens et participer au retour d’un pouvoir politique fort. Sa relation fusionnelle avec sa meilleure amie ou sœur de cœur, Jessica, contribue également à rendre le personnage sympathique. On ne peut qu’être touché par les liens forts unissant les deux jeunes femmes qui se montrent très protectrices l’une envers l’autre…

    Les autres femmes du récit se révèlent tout aussi fortes et n’ont rien de donzelles qui attendent que le prince charmant vienne les sauver. Et autant vous le dire tout de suite, c’est pour moi LE gros point fort de ce roman, l’auteur ayant fait la part belle aux femmes qui ne se laissent pas conter fleurette. Mélissa, ancienne militaire, ne pourra qu’impressionner par ses prouesses notamment aux commandes d’un hélicoptère, quand La Louve suscitera autant la crainte que l’admiration. Mélissa est un personnage assez secondaire dans ce premier tome, mais un événement tragique laisse penser que son rôle devrait prendre plus de consistance dans la suite de la trilogie, ce que confirme d’ailleurs l’auteur. Quant à La Louve, elle donne un peu le sentiment d’être une cocotte-minute prête à exploser sous la pression. Instable émotionnellement et marquée par la mort récente de sa sœur qu’elle adorait, elle n’hésitera pas à faire preuve d’une extrême violence que ce soit pour se venger ou protéger la nouvelle amie qu’elle s’est faite durant son « odyssée ». La Louve est peut-être le personnage le plus complexe oscillant entre folie, violence et actes de bravoure. D’un abord difficile, on apprend petit à petit à la connaître et à comprendre son schéma de pensées assez différent d’un humain lambda. Alors même si elle peut se montrer extrêmement violente, on finit par s’attacher à cette femme dont la carapace finit par, petit à petit, se craqueler… Ce qui est certain, c’est qu’il vaut mieux être dans ses petits souliers que faire partie de ses ennemis à moins de ne pas particulièrement tenir à la vie.

    Ma chronique étant déjà trop longue, je ne vais pas vous parler en détail de tous les autres personnages, mais juste vous dire que j’ai aimé que l’auteur suive le capitaine Verrier dans son enquête, destinée à retrouver Juliette, tout en prenant le soin de nous présenter sa fille, Sarah. On peut avoir tendance à oublier que derrière un uniforme ou une fonction il y a un être humain avec une famille, des amis… C’est donc intéressant de voir à quel point le travail de l’inspecteur a des conséquences directes sur la vie de ses proches à l’instar de Sarah qui vit mal le secret entourant la profession de son père ainsi que ses nombreuses absences. Celle-ci n’est pas au centre de l’intrigue, mais cela ne m’a pas empêchée d’apprécier cette jeune femme curieuse et téméraire sans être casse-cou. Mais l’intérêt principal de sa présence dans l’histoire est, pour moi, d’humaniser un inspecteur qui ne se révèle pas forcément très attachant… Sarah contribuera également, même si c’est de manière indirecte et involontaire, à l’enquête.

    Comme vous l’aurez certainement compris, j’ai apprécié les différents protagonistes du roman autant pour leur diversité que leur personnalité. C’est peut-être pour cette raison que j’ai été très touchée par le sort que l’auteur leur réserve puisqu’il n’hésite pas à les maltraiter physiquement et psychologiquement. Un événement dramatique m’a d’ailleurs particulièrement perturbée d’autant que je ne m’y attendais pas du tout. Alors je ne félicite pas l’auteur pour avoir fait souffrir mon pauvre cœur, mais je le remercie de m’avoir surprise à de multiples occasions.

    Un thriller mené tambour battant et mis en valeur par une jolie plume…

    Eh oui, rappelons que nous sommes ici dans un thriller avec la part de suspense, de rebondissements et de drames qui caractérisent le genre. Et à ce niveau, le lecteur est plutôt gâté ! L’auteur nous propose ainsi une histoire rythmée et riche en actions, surtout dans la dernière partie du roman. Le rythme va crescendo créant un certain sentiment d’anxiété devant la tournure presque chaotique que prennent les événements. C’est donc avec soulagement que nous atteignons les dernières pages du livre qui nous laissent avec des sentiments contradictoires de tristesse et d’espoir, et avec différentes interrogations quant au devenir des personnages…

    Enfin, je dois dire que j’ai été séduite par la plume de l’auteur qui fait preuve d’un talent certain dans la mise en scène de son histoire. Fluide et très imagé, ce récit de presque cinq cents pages se lit donc très rapidement d’autant que son rythme soutenu en rend la lecture assez prenante. Je regretterai néanmoins quelques maladresses dans la narration notamment dans les dialogues qui manquent, à mon sens, de naturel. Un problème que je rencontre dans de nombreux romans d’auteurs auto-édités français. On sent, en outre, une réelle volonté de bien faire et d’expliquer clairement les raisonnements des personnages. Cela donne malheureusement parfois des propos un peu redondants ou des phrases assez scolaires, un petit défaut qui ne pourra que se corriger avec le temps. Rappelons, en effet, que L’Odyssée des Sœurs Fantômes est le premier roman de Thomas Henninot qui me semble être un jeune auteur fort prometteur.

    En conclusion, un monde bouleversé par une maladie n’a rien en soi d’original, mais le charme du roman opère quand même grâce à la manière dont l’auteur a su mélanger dystopie et thriller tout en nous proposant une galerie de personnages hauts en couleur et à la personnalité marquante. Alors si vous avez envie de découvrir un roman mélangeant allègrement plusieurs genres pour nous offrir une histoire unique et palpitante, L’Odyssée des Sœurs Fantômes devrait vous plaire. Pour ma part, j’attends la suite avec impatience d’autant que les différents personnages semblent tous à l’orée d’une nouvelle vie.




    https://lightandsmell.wordpress.com/2018/04/19/le-siecle-phenix-lodyssee-des-soeurs-fantomes-thomas-henninot/

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    Couverture du livre « Le siecle phenix » de Henninot Thomas aux éditions Librinova

    Marie Kacher sur Le siecle phenix de Henninot Thomas

    Je fais partie de la team des « lecteurs qui lisent la dernière phrase du roman avant de commencer véritablement la lecture ». J’ai remarqué qu’en général, cette ultime phrase avant le mot « fin » ou la mention « à suivre » résume bien l’ambiance globale du récit, son atmosphère … et surtout, ça...
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    Je fais partie de la team des « lecteurs qui lisent la dernière phrase du roman avant de commencer véritablement la lecture ». J’ai remarqué qu’en général, cette ultime phrase avant le mot « fin » ou la mention « à suivre » résume bien l’ambiance globale du récit, son atmosphère … et surtout, ça enflamme mon imagination qui cherche vainement à comprendre comment on en arrivera là. En général, également, cela me donne terriblement envie de dévorer allégrement le roman parce que cette dernière phrase est décidemment bien trop intrigante - comme ce fut le cas ici, d’ailleurs. Chercher la dernière page de récit me permet également de savoir combien de pages et de chapitres comporte l’ouvrage que j’ai entre les mains (et pouvoir ainsi faire un rapide calcul : chapitres longs ou courts ? puis-je le lire à la moindre petite pause sans prendre le risque de devoir stopper ma lecture en milieu de chapitre - ce que je déteste - ou bien dois-je me ménager de longues heures pour me plonger dans ce livre ?). C’est en observant les titres des chapitres - sobrement nommés selon le narrateur ou la narratrice dudit chapitre - que je me suis rendue compte … que j’allais devoir m’accrocher face à une déferlante de personnages !

    Bien des années après la Grande Terreur, sombre époque où sévissait le terrible virus surnommé « la Faucheuse », la France se relève progressivement grâce aux campagnes de vaccination massives lancées par la Fondation Asclépios. Cependant, le virus, en perpétuelle mutation, continue de faire des ravages partout dans le pays. Juliette Dernot, fille du président de la Fondation, fait indéniablement déjà partie des personnalités les plus appréciées et les plus influentes du pays. Intelligente et charmante, elle concilie son statut d’étudiante et celui d’ambassadrice des campagnes de vaccination. Lorsqu’un attentat frappe le train dans lequel se trouvent la jeune fille et ses camarades de classe, il ne fait aucun doute qu’elle était la cible de cette tentative d’enlèvement … Tandis que la jeune prodige s’enfuit en forêt avec son petit copain, sa meilleure amie, blessée dans l’accident, contacte les autorités … Le capitaine Verrier, membre des Forces de Régulation Nationale, parviendra-t-il à retrouver l’héritière de la Fondation Asclépios avant ses mystérieux ennemis ?

    J’ai fait le choix de garder le même point de vue que la quatrième de couverture pour établir ce résumé … mais j’aurai très bien pu centrer celui-ci sur la Louve, une jeune fille ravagée par la mort récente de sa petite sœur et assoiffée de vengeance envers celui qui lui a fourni un faux remède, ou bien encore sur Sarah, fille du capitaine Verrier qui se retrouve embarquée dans cette sombre affaire sans même savoir pourquoi ni comment. Car là est bien la première grande particularité de ce roman : il n’y a pas un seul héros, mais bien plusieurs personnages principaux que l’on suit d’abord séparément et dont les chemins finissent, bien évidemment, par se rencontrer. Je pense vraiment que chaque lecteur peut s’attacher, voire s’identifier, à l’un ou l’autre de ces très nombreux personnages : leurs personnalités sont vraiment diverses et riches, leurs rôles sont vraiment complémentaires … Et bien qu’il soit au départ un petit peu compliqué de s’y retrouver avec tous ces prénoms et ces différents points de vue, il suffit finalement de quelques chapitres pour ne plus se perdre. Un grand bravo à l’auteur qui a géré avec brio cette grande diversité de personnages et de points de vue narratifs, et qui est ainsi parvenu à créer un roman-choral terriblement bien mené !

    Mais l’auteur a également su éviter un terrible danger : le manque de profondeur des personnages. En effet, lorsque ceux-ci sont nombreux, le risque est que chacun soit caractérisé uniquement par son statut, son rôle dans l’intrigue, et que le lecteur se retrouve face à des personnages creux, vides, dénoués d’intérêt. Fort heureusement pour nous, Thomas Henninot a soigné ses personnages ! Leurs personnalités, leurs caractères, sont d’une richesse et d’une profondeur rares ! Mention spéciale à la Louve, pleine de paradoxes, de nuances : à la fois forte et fragile, cachant sa sensibilité et son émotivité derrière un masque de violence et de sarcasme, équilibre instable qui menace à chaque instant de voler en éclat … La Louve, c’est l’humanité dans toute sa splendeur : prompte à ôter la vie, mais n’aimant pas donner la mort, sans cesse tiraillée entre son instinct de survie et son altruisme. Chez elle, la frontière entre le bien et le mal est floue, mais elle n’en reste pas moins très attachante, parce qu’on sent la douleur qui se tapie en elle et qu’on aimerait tant pouvoir l’aider à se débarrasser de ce fardeau émotionnel. Vous le savez, j’aime les personnages clairs-obscurs, qui ne se laissent pas facilement cerner … et je suis servie, ici ! Bien évidemment, tous les personnages ne sont pas aussi complexes que la Louve, mais tous ont une personnalité bien affirmée, ils ont tous leur part d’ombre et de lumière, leurs forces et leurs faiblesses, leur caractère et leur histoire … Ce sont des personnages riches, bien construits, un vrai régal !

    Contrairement à ce que j’imaginais à la lecture du résumé, le contexte post-apocalyptique n’est clairement pas l’élément principal de ce roman. Il est là pour offrir un cadre à l’intrigue, mais n’en est pas le noyau dur : nous sommes ici en présence d’un véritable thriller. La reconstruction de l’humanité après la Grande Terreur, les mutations incessantes du virus, la pollution de l’air … tous ces éléments sont présents en arrière-fond, pour ancrer le récit dans une ambiance déjà bien pesante, pour mettre en mouvement les personnages (la Louve n’aurait probablement jamais croisé le chemin des autres protagonistes sans la Faucheuse), mais c’est tout. C’est une réelle prise de risque de la part de l’auteur : un lecteur passionné de science-fiction, mais n’aimant pas les récits policiers, qui aurait acheté ce roman pour ce côté post-apocalyptique, pourrait se sentir trahi ou lésé … mais pour ma part, clairement, j’ai trouvé cette idée géniale ! J’ai toujours apprécié les auteurs qui ont l’audace de mélanger les genres, de brouiller les frontières, de ne pas se laisser limiter par elles pour rendre leur récit véritablement unique. Des romans post-apocalyptiques, on en voit beaucoup. Des thrillers également. Mais des thrillers post-apocalyptiques, c’est bien plus rares, et je suis ravie d’avoir eu la chance d’en lire un !

    D’autant plus que ce roman est vraiment palpitant. Il ne se passe pas un chapitre sans que le lecteur ne retienne son souffle, le cœur battant, sans qu’il ne sursaute de frayeur ou de surprise, sans qu’il tremble de crainte pour les personnages principaux ou de colère contre les vilains de l’histoire … Méchants qu’on a bien du mal à identifier, d’ailleurs, et dont on ne comprend pas encore très bien les mobiles. On s’interroge, on se laisse surprendre par les révélations, et surtout, on se laisse entrainer par les nombreux rebondissements qui surgissent de partout. A chaque fois que l’on se dit « ça y est, les choses sont en train de s’arranger, de se calmer, on va pouvoir souffler » (remarquons d’ailleurs que la distinction entre le lecteur et les personnages est assez floue : on ne sait plus trop si on espère cette accalmie pour eux ou pour nous !), voilà qu’un terrible coup de théâtre vient remettre tout en mouvement pour toujours plus d’action ! Pas moyen de s’ennuyer ou de souffler avec ce roman … De plus, l’auteur n’hésite pas à faire souffrir - voire mourir - ses personnages … Ne vous attachez à personne, c’est un conseil que je vous donne ! Nous sommes ici en présence d’un véritable page-turner qui happe le lecteur du début à la fin …

    En bref, voici un premier tome plus que prometteur qui s’achève de façon mémorable et surtout … impitoyable. On a terriblement envie de lire la suite immédiatement, mais ce n’est pas possible puisque le second tome n’est pas encore sorti, et c’est atrocement frustrant de laisser les personnages dans une telle situation … On sent que l’action ne fait que commencer, que ces presque cinq-cents pages ne sont que le début d’une grande et saisissante aventure, que nous ne sommes pas au bout de nos peines. Je vous encourage vraiment à découvrir l’extraordinaire plume de ce jeune auteur, qui manie à merveille les mots pour donner vie à ses personnages et pour raconter cette histoire palpitante, à la fois terrible (il y aura du sang, de la sueur et des larmes) et émouvante (aussi étonnant que cela puisse paraitre, il y a énormément d’émotions dans ce thriller). Ajoutez à cela de jolies réflexions sur la vie, l’amitié, le deuil, l’honneur, le bien, le mal, la mort … et vous aurez un bel aperçu de tout ce que comporte ce roman unique et vraiment étonnant. Une belle surprise, bien que les grands adeptes du genre risquent peut-être de regretter quelques schémas trop communs … mais clairement, pour ceux qui, comme moi, sont incapables de deviner par avance ce qui pourrait se passer, c’est vraiment LE livre idéal pour se laisser surprendre du début à la fin ! Foncez, je vous dit, et ne vous laissez pas tromper par la couverture qui ne reflète pas du tout l’histoire !

    http://lesmotsetaientlivres.blogspot.fr/2018/03/le-siecle-phenix-tome-1-lodyssee-des.html

Bibliographie de Henninot Thomas (1)

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