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Guillaume De Lorris

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    Couverture du livre « Le roman de la rose » de Guillaume De Lorris et Jean De Meun aux éditions Le Livre De Poche

    Anne V sur Le roman de la rose de Guillaume De Lorris - Jean De Meun

    Ce long poème datant du XIIIe siècle est composé de deux parties, écrites par deux auteurs différents, à 40 ans d’écart. Il est le témoin d’une époque mal comprise et se trouve à l’origine ou du moins a donné des bases à la vision de l’amour en occident.
    Il s’agit donc du « fin’amor » qui...
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    Ce long poème datant du XIIIe siècle est composé de deux parties, écrites par deux auteurs différents, à 40 ans d’écart. Il est le témoin d’une époque mal comprise et se trouve à l’origine ou du moins a donné des bases à la vision de l’amour en occident.
    Il s’agit donc du « fin’amor » qui sublime le désir. Le désir n’est pas l’amour mais le provoque. Dans les deux cas, les allégories : « Jalousie », « Danger », « Bel accueil », etc. reprennent les notions qui leur sont attribuées et jouent les personnages dans le rite initiatique par lequel passe l’amoureux.
    Dans la première partie, la magie, le songe et la confidence sont plus présents. Ils interprètent la vision morale de l’aristocratie courtoise et la sensibilité qui se heurte au thème du château-prison : l’impasse sur lequel elle achoppe.
    La deuxième partie reprend à partir de là mais le ton change, il devient plus libre, on passe du lyrique à l’épique pour aboutir à la satire. Les allégories « Faux Semblant » et « Male Bouche » sont introduites par exemple et tirent la critique de l’époque vers plus de logique. Évolution des temps.
    Fondée sur le mythe, l’allégorie sera remplacée par l’utopie (p 28). L’anthropocentrisme deviendra anthropomorphisme et l’égocentrisme, androcentrisme. Car c’est un point de vue essentiellement masculin, avec les clichés en vigueur, qui est proposé dans cette recherche de l’Amour.
    La conclusion est claire : « Grâce à [la] ruse divine », « l’art d’aimer et l’art de vivre » se conjuguent en « un art de propager la vie » (P 23).
    Il est dommage que le lexique joint aux quelques « traductions » ne permettent pas de lire confortablement cette « cathédrale de mots » en vieux français. En revanche, la préface de Daniel Poirion l’éclaire parfaitement.

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    Couverture du livre « Le roman de la rose » de Guillaume De Lorris et Jean De Meun aux éditions Le Livre De Poche

    Ludivine_Wilcz sur Le roman de la rose de Guillaume De Lorris - Jean De Meun

    La littérature médiévale comme je l'aime

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