"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Il a 19 ans, il fuit une enfance douloureuse et vit caché, dans une petite planque. Son surnom, c'est Lézard, parce qu'il se faufile dans la ville, se glisse entre les passants et leur vole leurs portefeuilles. Il a une manie particulière, il conserve précieusement les cartes d'identité, les photos, les documents de ceux qu'il vole et rêve leur vie, se construit mille vies à partir de celle des autres...
Tout bascule soudain le jour où Lézard vole le portefeuille d'André Ducastel, un écrivain célèbre qui, après s'être fait voler son portefeuille, décide d'écrire un roman dont Lézard sera le héros : Voleur de vies.
Lorsque Lézard lit les premières pages du roman, c'est sa vie qu'il y lit, ses paroles qui y sont transcrites.
Qui a volé la vie de qui ? Est-ce lézard, qui vole la vie des autres en prenant leurs papiers d'identité... ou le romancier, qui se sert de la vie de Lézard pour créer un roman ? Lézard se retrouve face à une question cruciale : et s'il n'était qu'un personnage de roman ?
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