"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Violence et institution sont indissociablement liées.
Agirs, empêchements de penser, attaques des liens et de la groupalité, défaite des articulations théoricocliniques, violences contre l'altérité et l'histoire sont autant de manifestations d'une destructivité qui ne trouve à s'intriquer et à se symboliser.
Référés diversement à la psychanalyse, mais partageant une commune attention à l'écoute des groupes et des équipes instituées, S. Blondeau, A.-L. Diet, E. Diet, D. Drieu, G. Gaillard, J.-P. Pinel, P. Roman et J.-P. Vidal explorent la problématique de la violence dans ses rapports à l'institution.
Les contributions réunies dans cet ouvrage visent à caractériser et analyser les nouvelles formes de violences associées aux transformations actuelles du métacadre social et culturel. Chaque contributeur se donne pour objet, à sa manière, d'éclairer les violences contemporaines, celles des sujets accueillis dans leurs pathologies, mais aussi celles plus insidieuses qui proviennent du métacadre social et culturel.
Les élaborations proposées par chaque auteur ouvrent des perspectives pour penser les violences institutionnelles contemporaines et caractérisent les dispositifs permettant leur transformation dans une visée symbolisante et humanisante.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !