L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
"En 2002, pour les besoins d'un roman, j'ai inventé un personnage d'intervieweur. Comme à l'époque je faisais de la radio, on a vite fait de confondre le vrai intervieweur avec le faux. Pourtant, mon rapport à la radio n'avait pas grand-chose à voir avec celui décrit dans le roman. C'est peut-être ce qui m'a conduit, des années après, à vouloir retrouver ce personnage. Ne serait-ce que pour clarifier les choses.
Ça tombait bien, il venait de mettre un terme à son aventure radiophonique et disposait donc de la distance et de la disponibilité nécessaires à une vue plus juste de ce qui avait été la passion de sa vie. En même temps, il devait tenter de substituer d'autres passions (pourquoi pas un grand amour ?) à celle dont il devait à présent faire le deuil. Comment allait-il s'accommoder de son infortune ? Un aller simple pour Venise, si possible en belle compagnie, pourrait-il combler l'immense vide ouvert devant lui ?" Angela est une des figures féminines de ce roman, avec d'autres, une serveuse de café, une violoncelliste, qui inspirent rêveries et fantasmes chez le narrateur, qui a pour habitude et presque obsession de noter ses sensations, sentiments et observations dans un carnet, sous la forme de brefs fragments ciselés comme des tweets poétiques.
Un livre qui renverse le crépuscule en aube, pleine de fraîcheur et d'espoirs.
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