"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Arrivé à la sortie du couloir de la mort, le jeune moine Shaolin devait encore s'acquitter d'une dernière épreuve : déplacer une urne de bronze remplie de braises en la saisissant entre ses avant-bras. De chaque côté de l'urne, deux figures animales apparaissaient en bas-relief. Sa dernière épreuve accomplie, le jeune moine se retrouvait ainsi avec le double emblème du Tigre et du Dragon marqué dans sa chair, symbole de sa maîtrise des arts martiaux.
Grâce à Bruce Lee, les spectateurs du monde entier découvrent au cours des années 1970 le cinéma kung-fu se référant à la tradition de Shaolin. Au Japon, succédant au Sugata Sanshiro d'Akira Kurosawa, le Street Fighter de Sonny Chiba bouscule le code des arts martiaux traditionnels. Dans ces pages, les principaux artisans de l'Âge d'or du genre sont largement évoqués : Wang Yu, Angela Mao, Lo Wei, Lo Lieh, etc. L'oeuvre des deux plus grands créateurs du cinéma de kung-fu, Chang Cheh et Liu Chia-liang y est ensuite longuement détaillée.
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