"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Il n'est aucun domaine qui ait échappé à l'emprise du régime soviétique sur la vie culturelle et artistique dans la Russie de l'après-guerre.
Après la littérature, le théâtre, le cinéma et la philosophie, c'est au tour de la musique d'être placée sous le contrôle du Parti, lors de la Conférence des musiciens, présidée par Andrei Jdanov à Moscou en janvier 1948. Les oeuvres de quelques grands compositeurs, tels que Chostakovitch et Prokofiev, coupables de " formalisme ", sont alors mises au ban de la production artistique et leurs auteurs sommés de faire amende honorable.
Correspondant de la presse britannique en URSS, Alexander Werth est le témoin attentif de cette offensive idéologique. Dans une analyse sur le vif où il laisse largement la parole aux différents acteurs, il retranscrit cette conférence, non sans humour, et avec un remarquable sens de l'observation.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !