« Comme tous les écrivains juifs, Francis Leder porte en lui un lourd et douloureux héritage [...] son oeuvre est marquée par une sorte de désespoir feutré, souvent caché derrière un dandysme de façade, même si l'exercice de Rimes volées le laisse moins apparaître que d'autres ouvrages. En tout état de cause, cet opus constitue la preuve d'une maîtrise de la forme dont peu d'auteurs pourraient se prévaloir » Jean-Pierre Quirin (extrait de la préface).
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