L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Parmi ses derniers écrits, dans « Répéter les symptômes », Rosmarie Waldrop déplie les mots et le temps (le travail du temps) le long de onze parties introduites principalement chacune par un verbe annonciateur. La dernière partie, comme dans la vie, étant «?vieillir?». Keith Waldrop, son mari, là à côté, est présent dans ce livre... C'est aussi la mort et le corps vieillissant qui se rappellent à la pensée. Le sens des mots, leur origine comme leur devenir au sein d'une phrase au contact d'autres mots, est un prisme au travers duquel la vie diffuse sa lumière?; cependant que là, parmi les espaces blancs de la page, «?l'épaisseur de l'ombre?» (Faulkner), «?la masse nocturne qui entoure?» (R. Waldrop) se révèle en conscience?: il s'agit toujours de ne pas ignorer les mots, ni de se laisser par eux ignorer. Il y a beaucoup à recevoir de ce livre magnifique, magistralement composé.
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