"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Nous créons notre propre réalité à partir de nos représentations temporelles, mais les temps changent et il nous faut continuellement nous adapter, à de nouvelles situations dans l'espace émotionnel où ils se déploient. Le présent fait revivre un passé occulté et fait naître des attentes pour d'autres lendemains.
Certains temps s'accélèrent quand on voudrait les prolonger ; les temps agréables fuient trop vite tandis que l'urgence des contraintes se fait longue et pressante en inhibant notre pensée.
Le temps s'aventure dans un jeu social fait de gains et de pertes, de manques et de besoins dans un rapport propre à chacun.
Le temps s'inscrit en continu mais se vit en discontinu, dans l'indéfini de notre finitude. Les entre-temps s'infiltrent pour rêver à d'autres possibles qui côtoient l'impossible retour d'un temps irréversible.
Remettre ses pendules à l'heure, c'est se poser pour réfléchir, pour remettre du sens au cours de son existence.
L'auteure envisage sur cet ouvrage les principales dimensions relatives au temps : l'action et l'émotion, le gain et la perte, soi et l'autre, l'être et l'avoir, l'avance et le retard, l'avant et l'après, le fini et l'indéfini, le possible et l'impossible.
L'auteure illustre son propos en s'appuyant sur des discours, des chansons, des romans dans lesquels le temps occupe une dimension importante.
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