"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Vivant au milieu d'une cour brillante et voluptueuse, aux passions vives, dans une société où l'amour tenait une grande place, cette Reine a connu la richesse et la pauvreté, la puissance et la trahison, la générosité et la haine.
La reine Jeanne (1326 - 1382) a vendu la cité d'Avignon aux Papes afin d'avoir les moyens de défendre son royaume contre Louis, roi de Hongrie, frère du premier de ses quatre maris qu'elle est accusée d'avoir assassiné. Le film de sa vie, où les tragédies se succèdent, se déroule sur une toile de fond aux couleurs de feu et de sang. A Naples, la reine Jeanne a laissé le souvenir d'une Reine légère, inconséquente.
En Provence, au contraire, elle apparaît comme une Reine de légende, pure incarnation d'un rêve, symbole vivant de beauté et de poésie. Le peuple de Provence, toujours fidèle et idéaliste, ne voulait pas croire à sa mort jusqu'à la notification par l'évêque de Vintimille, au conseil de Marseille, en 1385. "Reine idéale, familière et mythique, dira Frédéric Mistral, cette souveraine est pour nous, Provençaux, ce que Marie Stuart est pour les Ecossais, un mirage d'amours rétrospectives, un regret de jeunesse, de nationalité, de poésie enfuies."
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !