"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
De nos jours, on traverse le Sahara en voiture sans grande difficulté, et on propose aux touristes de revenir au moyen de locomotion traditionnel du désert : le chameau et la méharée.
En 1923, il était impératif d'apprivoiser le Sahara et de vaincre l'obstacle qu'il représentait en le rendant accessible au moyen de transport moderne : l'automobile naissante. Ce livre raconte les premières traversées automobiles du Sahara en 1923 et les luttes d'influence qu'elles firent naître. La voie la plus rapide fut ouverte à travers le Tanezrouft encore inconnu, par Georges et René Etienne, et bien d'autres suivirent leurs traces.
Après cette ère d'exploration vint celle de l'exploitation. La ligne du Hoggar en service à partir de 1934 fut baptisée " la plus longue route automobile du monde ". Traversant le Sahara et une partie de l'Afrique sur 6600 km, elle permettait de relier la Méditerranée au Niger, au Tchad et au Congo, grâce à l'organisation d'un service de transport routier et aérien, assorti d'une chaîne d'hôtels et de relais sahariens, amenant touristes et voyageurs jusqu'en Afrique Centrale, au Congo belge et au Nigéria anglais, et assurant au long des kilomètres de pistes parcourues la desserte locale des oasis sahariennes et des villages africains.
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