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Dans cette Histoire interdite, Franck Ferrand aborde cinq sujets polémiques de l'histoire de France pour rétablir leur vérité, à l'encontre des thèses officielles défendues par l'Université. Il a repris toutes les enquêtes, sur le terrain, à la source, et révèle pourquoi la vérité gênante a été jusqu'ici étouffée.
L'imposture du site d'ALÉSIA (52 av. JC).
Dans les années 1950, l'archéologue André Berthier était parti des textes - et notamment de La Guerre des Gaules - pour identifier, sans a priori, le véritable site d'Alésia. Reprenant et affinant ses recherches, Franck Ferrand apporte aujourd'hui la preuve que le siège d'Alésia ne s'est pas tenu en Bourgogne, du côté d'Alise-Sainte-Reine (vérité officielle), mais dans le Jura, du côté de Chaux-des-Crotenay (vérité dissidente). Ce qui modifie radicalement le sens et la portée du duel entre César et Vercingétorix - et dérange beaucoup les tenants du projet d'archéodrome bourguignon...
A-t-on " fabriqué " JEANNE D'ARC (1429-1431) ?
L'érudit Jean-Yves Laurent-Lefèvre en a fait son cheval de bataille : selon les intuitions - fort étayées du reste - de son maître, Philippe Erlanger, Franck Ferrand révèle que la fulgurante épopée de Jeanne d'Arc devrait beaucoup moins à la Providence (thèse officielle) qu'à la mise en oeuvre d'un vaste plan concerté dans l'ombre (thèse dissidente). Au bout du chemin, c'est le rôle majeur de Yolande d'Aragon, chef de la Maison d'Anjou et belle-mère de Charles VII, qu'il conviendrait de réhabiliter.
CORNEILLE a-t-il écrit les pièces de MOLIÈRE (1658-1673) ?
L'avocat belge Hippolyte Woutters a, le premier, eu le mérite de reprendre et préciser la vieille thèse de Pierre Louÿs, selon laquelle l'amélioration miraculeuse des pièces de Molière à partir de 1658 (thèse officielle) est due au fait que leur auteur caché serait le grand Corneille lui-même (thèse dissidente). Or, non seulement les études statistiques de Dominique Labbé, mais aussi les recherches biographiques de Denis Boisssier, semblent confirmer ces intuitions raisonnées... Franck Ferrand apporte toutes les nouvelles preuves.
Le tombeau de NAPOLÉON est-il vide (1821-1840) ?
L'avocat rochelais Bruno Roy-Henry est le chef de fil des " substitutionnistes ", hardi groupuscule affirmant que le sacro-saint corps rapatrié en 1840 n'était pas celui de Napoléon Ier (thèse officielle), mais un leurre installé à sa place sur ordre du gouvernement britannique (thèse dissidente). Une thèse défendue dès 1969 par Georges Rétif de La Bretonne, l'homme qui soutenait que l'actuel tombeau des Invalides serait vide ! Franck Ferrand ouvre le tombeau de l'Empereur.
L'AFFAIRE DREYFUS en cachait-elle une autre (1894) ?
Et si les accusations acharnées et absurdes de l'état-major contre le capitaine Dreyfus (thèse officielle) n'avaient eu pour objet que d'occulter une autre affaire, infiniment plus gênante pour les autorités (thèse dissidente) ? En défendant - brillamment - cette version dite " du Troisième homme ", Henri Guillemin s'est heurté, en son temps, au choeur unanime des universitaires. Pourtant, quarante ans plus tard, force est d'admettre que personne n'a été capable de lui opposer d'objections sérieuses. Franck Ferrand reprend tous les tenants et les aboutissants de cette affaire dans l'affaire et y apporte un éclairage décisif ;
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