"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Il y a quelques années, j'ai lu un article dans un journal slovène :
« Un tir unique à 150 mètres a blessé Bruno, le premier ours sauvage en Allemagne depuis 170 ans ». C'est ainsi que débute L'histoire de l'Ours que j'ai commencée à dessiner et à écrire à la suite, quand j'ai déménagé en Allemagne.
Dans mon histoire, l'Ours, blessé par un chasseur au passé sinistre, est sauvé par une jeune fille et par Manfred, l'homme qui comprend le langage des sangliers (c'est un sanglier qui découvre l'Ours blessé).
L'Ours veut se rendre à Hambourg. Mais atteindra-t-il la ville avant ses poursuivants ? Et la ville est-elle un endroit sûr pour lui ?
Manfred, qui a vraiment existé sous le nom d'Heinz Meynardt, cache dans sa maison l'Ours qui y hiberne, et va en sortir très changé.
Parallèlement on suit Stefano le Lapin et son compagnon, un singe autiste, ambulanciers en vadrouille. Ils essaient de sauver Bianca, une femme qui est morte lorsque je faisais mon service civil aux urgences, et dont j'ai rêvé quelquefois.
Dans ce récit se mélangent les paysages des Apennins et ceux de Poméranie, les êtres humains et les animaux. Ce sont surtout ces derniers qui sont en difficulté. Les histoires parallèles de l'Ours, du Lapin et d'autres, qui s'ajoutent à celles-ci, ont pour moi clairement quelque chose en commun : la transformation, la nécessité que toutes les choses vivantes ont de bouger et de changer.» Stefano Ricci
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