"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce tome V des Lettres festales de Cyrille d'Alexandrie contient les cinq dernières lettres conservées de lui (lettres XXVI à XXX), pour les années 438 à 442. Elles continuent à honorer les codes de ce genre littéraire : appel à la conversion et au combat spirituel pour se rendre pur, lecture symbolique d'un texte biblique, catéchèse sur l'histoire du salut et la centralité du Christ (passant par la critique des juifs qui ne l'ont pas accueilli), annonce de la date de Pâques et du début du carême. À l'intérieur de ce schéma rituel Cyrille introduit de petites variations qui donnent un caractère propre à cette série finale : le temps pascal comme temps de « relâche » après l'effort, anticipant le repos du ciel ; l'insistance sur la communion des saints dans laquelle entre le juste ; la foi qui justifie, ou encore la beauté d'une vie droite. Les images sont abondamment convoquées dans cette prédication, tirées de l'Écriture ou de la vie ordinaire : les métiers, la guerre, la vraie richesse, les fêtes juives, la Tente et le Saint des saints... Sans oublier d'être théologien dans ces lettres qui célèbrent le mystère pascal et le salut, Cyrille se montre pasteur, parlant pour tous, dans un langage simple et concret, pour inviter chacun à changer de vie Né entre 375 et 380 dans les environs d'Alexandrie, Cyrille devient évêque d'Alexandrie en 412, à la suite de son oncle Théophile. Il meurt le 27 juin 444.
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