Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Pascale Roze Lettre d'été Au printemps 1996, alors qu'elle vient d'achever Le Chasseur zéro qui lui vaudra quelques mois plus tard le prix Goncourt, Pascale Roze est frappée d'une rupture d'anévrisme. La douleur, l'affolement de l'entourage, l'ambulance, puis le trou noir... Et le réveil à la Pitié-Salpêtrière.
Trois ans plus tard seulement, la romancière pourra revenir sur cette expérience. Elle le fait sous la forme d'une lettre à Tolstoï, figure tutélaire, lui aussi hanté par la mort, et qui, en plusieurs pages, semble avoir eu le pressentiment de ce que serait la sienne.
La mort, l'écriture, mais aussi l'amour, la vie auprès de Double Coeur dans une maison à la campagne, et surtout l'extraordinaire joie d'exister qui, bien plus que la souffrance, marque ses journées d'hôpital : c'est de tout cela que parle Pascale Roze dans ces pages rigoureuses et vraies, où se confirme la présence d'un écrivain authentique.
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