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Clémence de Francine, la « Fontainière du Roy », a grandi à Versailles pendant la construction du château. Ses charmes en ont ensorcelé plus d'un. Molière, Racine et La Fontaine, les fastes de la Cour, les intrigues, les amours, des aventures, elle a tout vu, toujours avec grâce, intelligence et gaieté.
On la retrouve dans Les Ombrelles de Versailles, veuve et remariée, mûre et encore séduisante. Le règne, autour d'elle, traverse bien des troubles : guerres incessantes, persécutions religieuses. Le Roi vieillit, la Maintenon s'impose. Aux dorures et aux rubans de soie succèdent le gris et le noir de la vertu.
Le second mari de Clémence est tué en duel. Elle a pourtant d'autres passions, d'autres plaisirs. Ses vieux amis s'en vont tandis qu'elle s'en fait de nouveaux. Elle participe aussi aux réunions de femmes intelligentes, « les Ombrelles », l'un des ornements de la Cour. Quand Louis XIV meurt, Clémence se prépare à oublier le monde, sereine comme les eaux dont elle est la fille.
Une fois encore, Jean Diwo nous propose un rendez-vous avec l'Histoire. Le Grand Siècle s'achève ici, dans le second volet d'une fresque. Versailles, depuis longtemps, n'avait pas eu de meilleur guide.
La suite de la Fontenière du roi
Auteur génial mais l'histoire méritait-elle un deuxième volet si long ?
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