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Longtemps considérés comme fantaisies d'artiste et oeuvres de second rang, les grotesques ont suscité un regain d'intérêt à partir des années 1960.
Depuis le XVIIe siècle, le mot « grotesque » a une connotation essentiellement négative, évoquant l'idée de bizarrerie, de ridicule ou d'extravagance.
Mais il fut d'abord employé dès le début du siècle précédent pour désigner des peintures murales largement inspirées des fresques et des reliefs antiques, auxquels s'ajoutaient parfois des réminiscences des marginalia gothiques.
Ce genre décoratif connut un immense succès tout au long du XVIe siècle, d'abord en Italie, puis un peu partout en Europe, et s'étendit à la sculpture, à la gravure et à bien d'autres techniques.
Partant de motifs et de schémas essentiellement antiquisants, le langage des grotesques s'est progressivement détaché de cette référence figurative en s'inspirant de diverses matrices culturelles contemporaines. C'est donc par l'analyse de ces voisinages déterminants et de ces relations constitutives que cet ouvrage entend rendre compte du fonctionnement multiple de ce langage apparemment incohérent et de ses multiples références culturelles.
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