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Les grands bois se déroule dans un monde familier à l'auteur, les monts de Bohême, les forêts profondes qui ont enchanté son existence, par ailleurs douloureuse et frustrée. L'art de Stifter (qui fut aussi un peintre de haute valeur) est à l'image de ces horizons où les détails s'harmonisent, se fondent dans la profonde unité du destin.
L'oeuvre de Stifter va bien au-delà de ses récits, au carrefour de ses hantises et de ses rêves, comme ces tables d'orientation qui donnent à rêver au promeneur.
La clarté, l'immobilité des récits qu'il a laissés sont vraiment celles du cristal, doué d'une rigueur interne où l'esprit découvre les lois d'un monde plus parfait... On a nommé l'art de Stifter un «réalisme poétique». Mais la part de la poésie y est certainement plus grande que celle du réalisme.
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