"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«Quand, au début de l'année 1854, un an avant sa disparition tragique, Nerval publie Les Filles du feu, il a conscience de laisser un ouvrage important. Nous tenons là un recueil en forme, voulu et arrêté par son auteur ; atout précieux dans une production qui, si elle est substantielle en quantité, n'offre pas beaucoup de volumes achevés, particulièrement en cette fin de vie où s'élabore toute une constellation de textes fascinants, au statut incertain, à l'instar de cette Pandora (1853-1854) et autre Aurélia (1854-1855) dont on ne saura vraisemblablement jamais à quel remembrement plus vaste l'écrivain aurait pu les destiner - et qui ont en outre pâti, du vivant de l'auteur (telle Pandora) comme après sa mort (ainsi d'Aurélia), des hasards de publication les plus décourageants.»Philippe Destruel.
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