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Orphelin de père et de mère, Victor vient tout juste d'achever ses études et s'apprête à prendre le poste que son tuteur lui a procuré. Mais un oncle fortuné, qui vit en reclus sur une île, au milieu d'un lac de haute montagne, exige expressément sa visite.
Confronté à la rudesse du mystérieux vieillard, qui n'avait jamais manifesté pour lui le moindre intérêt, Victor verra ses repères et illusions bouleversés ; il repartira parvenu à l'âge d'homme.
Précédemment publié sous le titre L'Homme sans postérité, Le Vieux Garçon est l'une des plus belles réussites de Stifter (1805-1868), étudiant désargenté devenu figure majeure des lettres allemandes, admiré de Nietzsche, Hermann Hesse ou Thomas Mann.
Orphelin, Victor a été élevé avec amour par Ludmila.
Il a un tuteur qui gère ses biens.
Avant de prendre son premier poste de travail, il se rend chez son oncle qui habite une île isolée et qu'il n'a jamais vu.
Roman initiatique au rythme lent et contemplatif.
On a l'impression de lire du Balzac.
Normal me direz vous.
Stifter est contemporain de Balzac.
On retrouve toutes ces descriptions savoureuses d'une époque où le cinéma n' existait pas.
Un livre doux et agréable qui nous parle d'une époque où l'on prenait le temps de vivre, où les jours, les mois permettaient de contempler, de réfléchir.
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