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Le jeune prince Marcus est encore un enfant lorsqu'il assiste impuissant au massacre de toute sa famille.
Seul rescapé de cette boucherie ennemi héréditaire de la famille de Marcus qui va s'asseoir sur le trône, Marcus ne doit son salut qu'à la jeune Héloïse, fille d'Agnès, la lavandière du village qui l'accueillera sous son toit pour l'élever comme s'il était son fils.
Luca di Fulvio retrace l'ascension paradoxale d'un petit prince qui va devoir apprendre dans la douleur comment devenir un homme.
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L'an de grâce 1407, un petit royaume avec pour seigneur le prince Marcus Ier de Saxe, père de Marcus II de Saxe, prince héréditaire. Et en hiver, la vie du petit prince basculera devant le massacre perpétué dans le fort, quand des troupes du prince d'un royaume voisin, exterminent tous les occupants de celui-ci y compris ses parents. Né sous une bonne étoile, Marcus ne devra le salut qu'à l'intervention d'Eloisa – la petite fille d'Agnete, la sage-femme du village – qui l'accueillera pour l'élever comme son propre fils.
Une vision offerte par l'auteur, " Luca Di Fulvio ", de la vie au temps du Moyen-Âge, par le destin hors norme de ce petit prince, qui devra prouver sa valeur et sa force, pour rendre justice à sa famille et retrouver son rang. C'est une longue et héroïque épopée qui ravira les adeptes de romans historiques.
Une approche sociale peut-être intéressante sur ce roman qui montre la notion de servitude de l'homme en tant que serf qui est totalement inféodé aux décisions de son seigneur. Un monde où le serf ne peut rien décider, même pour se marier, sans l'accord du maître ! À cette époque, un homme peut-être la propriété d'un autre. Et pourtant, le monde actuel ne semble pas avoir retenu les leçons de son passé ! De fait, la notion de bien-être social n'est pas consubstantielle aux mœurs du Moyen-Âge.
Enfin, la religion, également, prend une part importante dans ce récit par l'événement du concile de Constance (1414 – 1418) qui mit fin au schisme, en obligeant les trois papes à démissionner au profit d'un seul, Martin V.
Une lecture que j'ai apprécié par son rythme et suspens soutenus. De comprendre les différentes forces qui gouvernaient cette époque : de la prégnance de la noblesse ainsi que de la religion au détriment du reste de la population tributaires des exactions de celles-ci...
Plonger ainsi de ce roman addictif, et ce noyer dans les vicissitudes de la vie quotidienne et les menus instants de calme et silence des personnages ! Bref le " Le soleil des rebelles " ne brillent pas pour tout le monde.
Plongée dans les eaux troubles du Moyen-Âge
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Marcus n'est qu'un enfant lorsqu'il assiste au massacre de sa famille commandité par le cruel Ojsternig, rival de la maison de Saxe.
L'enfant ne doit son salut qu'à Eloisa, la fille de la sage-femme, Agnete. Désormais il va falloir qu'il oublie d'où il vient, et qu'il se fonde dans le monde de douleurs et de servitudes du peuple. Commence alors pour lui un long chemin qui va lui permettre de comprendre la vie, de choisir quel type d'homme il veut être et d'avoir une chance de changer le cours des choses, en apprenant le sens profond de certains mots comme Espoir et Liberté.
L'aideront à grandir dans tous les sens du terme, des femmes fortes (Eloisa qui l'aimera dès l'enfance, Agnete pour qui il remplacera le fils perdu, Emöke la Folle ou la Sainte) et des hommes valeureux et probes (le vieux Raphaël dont les phrases incompréhensibles s'éclaireront au fur et à mesure de ses progrès et Volod le révolté )
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Luca di Fulvio est un conteur fabuleux. Je l'avais dit quand j'avais lu Les enfants de Venise(en juin 2018), je le redis parce que je suis complètement envoûtée par ses histoires. Il crée des personnages inoubliables, hauts en couleurs, et même les méchants, vraiment très méchants, ont en eux une faille qui laisse entrevoir leur humanité sous la couche crasse de leur orgueil et de leur cruauté.
Extraordinaire Mikaël alias Marcus dont la naissance ne laissait en rien présager d'une telle capacité d'adaptation, d'une telle intelligence et d'une telle volonté de (sur)vivre.
Magnifiques Eloisa et Agnete, femmes fortes dans un monde dominé par les hommes.
Inoubliable et lumineuse Emöke, brisée en apparence et si forte intérieurement...
Mystérieux et sage Raphaël dont les enseignements précieux permettront d'éclairer la conscience de Marcus...
Luca di Fulvio ne ménage pas ses personnages à l'image d'un siècle de fureurs et d'incertitudes, où politique et religieux sont étroitement mêlés en plein concile de Constance avec trois papes potentiels.
Le soleil des rebelles, un grand roman d'initiation au souffle épique. ❤
Une chouette lecture, qui me fait oublier ma petite déception du roman précédent "Les enfants de Venise".
Une histoire bien menée, avec une intrigue qui nous emmène jusqu'à la dernière page.
Encore une très belle histoire, un très beau conte qui se lit avec facilité. On ne lâche pas le roman avant de savoir le devenir de ce petit Markus.
Par contre, après avoir lu le gang des rêves, les enfants de Venise et le soleil des rebelles, je me lasse un peu .
Toujours un peu pareil.......
Luca Di Fulvio a un talent de conteur exceptionnelle. Dès les premières pages il vous embarque dans son monde avec ses personnages, ses décors, son ambiance d’un siècle passé. Et voilà que je me retrouve à lire un pavé de 640 pages en moins de 4 jours. Et encore une fois quel talent, quelle histoire !
Aujourd’hui je vous parle de Le soleil des rebelles de Luca Di Fulvio paru aux éditions Slatkine & cie ainsi qu’aux éditions Pocket.
C’est l’histoire d’un jeune prince qui assiste au massacre de sa famille toute entière et se fait sauver par une serve aussi jeune que lui.
C’est l’histoire d’un jeune prince qui va devoir cacher qui il est pour sauver sa peau et apprendre à vivre comme un pauvre, comme un paysan.
Il va devoir apprendre à travailler, à se contenter du peu qu’il a dans son assiette mais surtout à affronter la réalité, la vérité telle qu’elle est. Et il va surtout se chercher lui-même, apprendre qui il est vraiment.
Ce que j’apprécie dans la plume de Luca Di Fulvio et la façon dont il a de construire ses histoires c’est que tout les personnages présents ont un rôle à jouer. Du pauvre paysan de Raühnvahl au seigneur Ojsternig, grand méchant de l’histoire.
Mais surtout chacun contribue à façonner la personnalité de Mickaël de par les épreuves qu’il traversera avec eux.
Mickaël qui n’aura de cesse de se chercher, de trouver sa place lui qui est passer d’un monde de confort et de richesse à celui de pauvreté, de précarité et d’insécurité. Il va en croiser des gens sur sa route, des bons, des moins bons, des pourritures extrêmes (restons polis par ici ^^) qui vont le faire grandir et faire naître en lui des certitudes.
Certitude quant à l’injustice qui régie ce monde, certitude que chacun mérite d’être libre.
Mais comment le devenir quand on a ni la force ni les armes pour faire face à Ojsternig, quand soi-même on tremble face à la petite terreur du village ?
C’est tout cela que nous raconte Luca Di Fulvio. Et là où ça pourrait paraître long pour beaucoup (oui je conçois qu’un pavé de plus de 600 pages peut en faire reculer plus d’un), c’est pour moi une mélodie de mots qui défile.
D’une part parce qu’on a l’impression de voir la scène sous nos propres yeux tant l’écrit est fluide et les descriptions nettes et précises. Et d’autre part, on a envie et besoin de savoir comment Mickaël mais aussi Agnete, sa mère adoptive, Eloïsa, sa soeur adoptive et tous les autres vont se rebeller et retrouver leur liberté.
Parce qu’il est question de ça dans ce livre, comme dans tous les autres récits de cet auteur : la liberté avec un grand L.
Et il nous sort une histoire digne d’un film, digne d’une épopée où rien est un long fleuve tranquille.
Ca reste assez « classique » et pourtant ça fonctionne à merveille. Les merveilleux ingrédients que sont la trahison, la confiance, l’amitié, l’amour, la mort et tout ce qui fait qu’un récit n’est pas plat et ennuyeux se retrouvent dans Le soleil des rebelles.
Et j’ai plongé la tête la première.
J’ai vécu les émotions qui traversent nos personnages. Et l’ambivalence de leurs sentiments. Comme on le dit si bien entre l’amour et la haine il n’y a parfois qu’un pas. Et c’est ce qui fait que j’apprécie autant cet auteur et ses histoires. C’est qu’aucun des personnages n’est parfait. Ils ont tous leurs imperfections, ils font tous des erreurs qu’ils remettent en cause pour « x » ou « y » raison et qui les feront avancer, et ce peu importe dans quelle direction.
Le soleil des rebelles c’est un chemin vers la liberté mais aussi un chemin vers la vérité et la quête de sa propre identité. L’impression d’être dans un récit romanesque avec les batailles sanglantes, les pendaisons qui cheminent ici et là l’histoire et la longue marche vers un objectif précis. Et j’ai suivi cette épopée en retenant mon souffle, en étant émue, en colère et avec nostalgie.
Une nostalgie par rapport à certains personnages que l’on croise, à qui on s’attache et pour qui on espère mille et une choses. Quand je vous dis que tous ont leur importance ce n’est pas un euphémisme.
Chacun va porter la pierre à l’édifice que se construit Mickaël pour nous conduire jusqu’au grand final.
Un dénouement qui prend à la gorge, qui vous explose à la figure comme un million de feux d’artifices. C’est beau, sanglant, poétique, barbare, tout ça à la fois. Et on quitte nos personnages essoufflées, tranquilles, prêt à affronter leur lendemain. Et ça devient « mes » personnages parce que j’ai eu la sensation de vivre avec eux pendant plus de 600 pages. Je les ai accompagnés dans leurs aventures, leurs péripéties, leurs joies et leurs galères. Il y a un peu d’eux qui s’est immiscé en moi et les quitter m’a donné une légère sensation de vide. (je ne pourrais pas du tout dire ça d’un thriller entre vous et moi haha).
En bref,
Le soleil des rebelles m’a de nouveau enchantée, émerveillée. Cet auteur a un véritable don et l’exploite à merveille pour chaque histoire qu’il nous raconte. C’est une ode à la liberté qui est écrit à travers ses personnages principaux ou secondaires. C’est riche en émotions. Rien ne peut vraiment laisser indifférent et j’ai vécu cette nouvelle aventure comme toutes les autres : avec ferveur. Le soleil des rebelles c’est l’espoir de la liberté et la quête vers la vérité. Un moment magique à lire et qui va me marquer pendant quelques années tout comme l’ont fait Le gang des rêves et Les enfants de Venise.
Lisez-le, achetez-le, prêtez-le mais ne passez pas à côté de cette merveille.
Début de cette année, j'ai découvert le très beau roman Le gang des rêves de Luca Di Fulvio. Plus qu'un beau roman, cela a été un gros coup de cœur et six mois après j'y pense encore très souvent. Et sans hésiter, il fait partie des livres que je conseille le plus à la librairie. J'étais donc très heureuse que Marion me propose de lire Le soleil des rebelles. Mais je ne l'ai pas lu tout de suite... Il faut dire que j'avais un peu d'appréhension... Est-ce que j'allais aimer ? Est-ce que j'allais être transporter ? C'est ma rencontre avec l'auteur, la semaine dernière, qui m'a décidé ! Et me voilà lancée, avec ma meilleure amie, à la découverte de ce roman.
Première constatation : je peux faire confiance à Luca Di Fulvio. Cet auteur a un vrai talent de narrateur. Il arrive à me transporter dès les premières pages dans son univers, arrêtant la réalité et me faisant oublier le monde autour de moi. J'aime son écriture, son mode de narration, ses alternances de chapitres qui font qu'on s'immerge encore plus et qu'on apprend à connaître plus chacun des personnages. C'est un vrai conteur ! Il a la capacité de faire sortir la lumière là où il y a le noir. Il est comme les rebelles de son histoire, « il trouve le soleil la nuit ». Le soleil des rebelles est un conte sur l'espoir et la vérité. Un conte sur la recherche du pouvoir, la destruction, la haine, la vengeance, la cruauté. Un conte sur le changement, sur la beauté, sur l'amour.
Le soleil des rebelles c'est l'histoire d'un petit prince qui va voir son monde mit à feu et à sang par un homme qui rêve d'avoir le pouvoir, de crouler sous la richesse et de pouvoir défouler sa haine et sa cruauté sur son peuple. Ce petit prince va se retrouver au rang de glèbe. Il va devoir se comporter comme une personne du peuple s'il veut survivre et surtout cacher sa véritable identité. Prince Marcus II de Saxe devient alors Mickael.
Je ne suis pas spécialement fan de la période du Moyen-Âge et pourtant, grâce au talent de l'auteur, j'ai réussi à m'immerger dans ce temps. Comme pour Le gang, Luca Di Fulvio n'épargne pas notre cœur, ni notre sensibilité. Entre la cruauté, la violence qui règne en maître dans cette histoire avec le personnage de Ojsternic et la condition du peuple, les maladies, m'ont confirmés que je suis très heureuse de ne pas avoir vécu à cette époque. Le XXIème siècle n'est pas si mal ! On ne peut pas dire que le récit manque de réalisme puisque tout est décrit. Certains sévices, tortures m'ont donnés des hauts le cœur. Il y a des passages où il faut s'accrocher !
À la lecture de ce roman, je me rends compte que dans les histoires de l'auteur, il y a deux côtés : un côté bien sombre, bien noir, bien cruel qui colle avec la période relatée, et de l'autre l'espoir et l'amour. Et tout cela est porté par les personnages. Ce qui m'amène à ma deuxième constatation : la force de ses personnages. Certes, son récit est dur, par moment terrible et terrifiant mais cela a son importance. L'auteur ne se contente pas de raconter de l'horrible, juste pour son bon plaisir. Tout cela est fait pour que le héros se révèle, accomplisse son destin. Ici, c'est le cas pour Mickael. Il incarne l'espoir dans tous ses aspects ! Il est synonyme de l'amour et de la liberté !
J'ai adoré son personnage. Je me suis attachée au petit garçon perdu, à l'adolescent et à l'homme. Il n'est pas parfait, il a des défauts. Il est têtu. Il va faire des erreurs mais il en tirera des leçons. Il va grandir, évoluer, apprendre, comprendre et découvrir qu'il est vraiment. J'ai adoré son évolution, le voir changer et s'affirmer. J'ai aimé le voir découvrir sa vérité. J'ai aimé ses actes, sa douceur, sa générosité. J'ai aimé le voir se renforcer, accepter que le monde n'est pas toujours juste.
C'est ça que j'aime dans les romans de Luca Di Fulvio. Ses personnages grandissent et mûrissent. Ils ne seront pas épargnés et cela dès le début. Ils ne sont pas parfaits et malgré certains de leurs actes, ce sont de belles personnes et ils inculquent de très belles valeurs et ils ne les perdront jamais.
Autour de notre héros, d'autres personnages gravitent : Agnete, Eloisa, Raphaël et bien d'autres encore, que j'ai adoré. Ils ont fait battre mon cœur. Ils m'ont touché avec leur histoire, avec leur personnalité et leur force. Et parmi eux, Michael trouvera l'amour. Il trouvera l'amour dans des yeux bleus, dans le frôlement d'une main d'enfant. Il trouvera l'amour dans les bras d'une mère. Il trouvera l'amour dans l'éducation d'un père.
Si Luca Di Fulvio a un talent pour décrire ses héros, il a aussi un talent pour construire la psychologie des odieux personnages. Mickael va être confronté à des ordures, à trois particulièrement : Agomar, Eberwolf, et le pire de tous, Ojsternick. On les déteste, vraiment ! Aucune sympathie, aucune pitié pour ces trois ordures ! Et pourtant, leur présence est importante, sinon Mickael ne serait jamais devenu ce qu'il est !
En bref, Le soleil des rebelles est synonyme d'espoir. La force du récit se trouvent dans trois éléments : le talent de conteur de Luca Di Fulvio, dans sa maîtrise des personnages et dans l'amour. C'est une histoire d'amour ! Mais l'amour dans tous ses aspects : l'amour entre une homme et une femme, entre des camarades, entre une mère et ses enfants, entre un père et ses enfants, l'amour de la vie. L'amour dans toutes ses façons d'aimer ! J'ai aimé Le soleil des rebelles. J'ai été transportée, j'ai vécu les événements à fond, j'ai eu le cœur qui battait pour les personnages. J'ai ressenti une multitude d'émotions. Le roman fait 640 pages et je n'ai pas vu le temps passer. J'ai adoré !
Marcus II âgé de neuf ans, prince héréditaire du royaume de Saxe, est caché dans un recoin secret de la caserne des soldats de son père lorsqu’il voit le terrible Agomar tuer toute sa famille et les serviteurs du château, ainsi que la garde complète, à la demande du prince d’Ojsternig. Protégé et adulé depuis sa naissance, il est totalement désarmé devant la brutale réalité qui fait de lui un orphelin et serait probablement mort sans l’aide de la petite Éloisa et de sa mère Agnete.
Rebaptisé Mikael, effrayé par tout ce qui l’entoure, ayant pour seul ami son rat Hubertus, il lui faudra apprendre à devenir un petit paysan en musclant son corps et son âme … Il lui faudra également vaincre ses peurs et approcher les rebelles afin de reprendre ce qui lui appartenait …
Un très joli roman, qui fait suite au premier grand succès de Luca Di Fulvio, “Le gang des rêves” (qui je l’avoue n’est pas mon préféré …) et à son non moins fameux second best-seller, “Les enfants de Venise”. Une réussite littéraire par an, c’est un sacré challenge ! Je suis donc impatiente de pouvoir découvrir son prochain roman dès la rentrée de septembre !
Pavé + roman historique + quête initiatique : tout pour me plaire. Effectivement, au début de la lecture, j’étais très enthousiaste de découvrir les épreuves que ce petit prince allait traverser pour retrouver sa place… car on se doute bien du dénouement final dès le début. Et puis au fur et à mesure que j’avançais dans le livre, mon enthousiasme est retombé pour à la fin me dire que le livre aurait pu être réduit à 300 pages, soit de moitié ! L’épisode où le héros se rend à Constance pendant le concile, intéressant en soi par l’événement historique qu’il représente, m’a paru mal justifié dans le récit.
Mikael y fait un aller-retour pour avoir la révélation qu’il faut enfin affronter le seigneur tyrannique ! Je me suis dit tout ça pour ça !
Je n’ai pas aimé les personnages : les gentils sont très gentils et les méchants très méchants. Deux personnages m’ont limite exaspérée : Mikael qui n’arrête pas de répéter qu’il n’est qu’ « un serf de la glèbe » et le seigneur très très méchant qui ne sait plus quel supplice inventer pour torturer son peuple ! J’ai quand même aimé certaines choses, notamment la decritpion du quotidien des serfs, les repas… et les passages avec le mentor du héros, Raphaël. Mais il m’a manqué un peu de complexité.
Le soleil des rebelles fera partie des livres que j’aurai voulu aimer…sans y parvenir.
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