"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Aucun résumé n'est disponible pour cet ouvrage actuellement...
Babouc, un jeune homme sans histoire ni préjugés, est chargé par Ituriel, l'ange de la destruction, d'aller visiter la ville de Persépolis afin d'observer le comportement de ses habitants et de juger si oui ou non ils méritent le châtiment de la destruction.
Mis à part le parallèle évident avec l'épisode de Jonas dans la bible, il s'agit d'une satire du Paris du XVIIIème siècle où les écrivains pédant ne louent que pour être loués à leur tour comme dirait La Rochefoucauld, où les états font la guerre uniquement à cause « d'une querelle entre un eunuque d'une femme du grand roi de Perse et un commis d'un bureau du grand roi des Indes », où « les emplois de la robe s'achètent comme une métairie »...
L'histoire est un peu bâclée et aurait mérité un meilleur traitement de la part de Voltaire, bien que son ironie légendaire fasse mouche comme à chaque fois, car les diverses situations auxquelles Babouc est confronté ne sont pas assez développées, le tout se lit très vite, trop vite même, ce qui nous laisse un peu sur notre faim.
Un petit conte philosophique passable, bien en dessous de la qualité de « Candide ou l'optimisme ».
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !