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De son arrestation en juillet 1940 à sa mort en juillet 1944, Georges Mandel, alors ministre des colonies, a été interné par Vichy, enlevé par les SS avant d'être déporté en Allemagne puis ramené de force en France pour être livré à la Milice et assassiné en forêt de Fontainebleau. Au cours de ces quatre années tragiques, l'ancien chef du cabinet civil de Clemenceau (1917-1919) ne s'est jamais fait d'illusion sur la fin qui l'attendait, comme le montrent ses archives personnelles. Ce sont ces années que raconte Antoine Mordacq, à partir d'archives neuves, notamment des lettres quasi quotidienne que Mandel, sa femme et sa fille s'écrivent. Ce récit brillant et haletant donne ainsi un nouvel éclairage sur l'action d'un homme en résistance face au nazisme et à Vichy.
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