Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
La petite fille recherche son père. Elle a un peu connu sa mère mais le manque véritable vient du géniteur absent. Elle croit en son amour pour lui et part à sa recherche. Désespérément, elle fera des rencontres qui ne feront qu'accentuer le chaos qui règne en elle. La petite fille ne supportera pas la compréhension de n'être qu'une solitude de plus parmi cette multitude.
LE FAUX IDENTIQUE & VOIX - retour de lecture de vos deux livres. Nous les avons lus tous les deux (Patrick et moi) et nos points de vue convergent plutôt. Nous vous livrons ci-après nos modestes commentaires : Bravo : Pour la très grande originalité du concept PROMAN ; nous souhaitons vivement que ce genre littéraire fasse des émules... Pour les idées que vous écrivez (décrivez) qui sont troublantes et fortes. Troublantes car les thèmes sont durs (pour ne pas dire difficiles), on se croirait par moment dans les aventures glauques, noires et sordides du Poulpe. Fortes car votre style (phrases courtes, dialogues intégrés au textes, images décrites...) est vif, acéré et tranchant comme une lame de fond qui se fige en nous. Pour vos textes (les deux) qui nous ont fait penser à des scénarii de film tellement nous avons pu visualiser les personnages. Pour la une mise en marge de certains passages (gras, majuscule à certains mots) qui, si elle décontenance légèrement au départ, permet de jouer avec le lecteur sur un double niveau d'écriture et de rythme du texte. Voilà nos quelques remarques. Nous vous adressons en tous cas nos sincères félicitations et vous remercions de nous avoir offert un tel moment de lecture Une petite question : avez-vous soumis ces textes à des éditeurs classiques avant les auto-éditer ? A bientôt... Cordialement. Anne-Bénédicte Joly Ecrivain, Doctorat en Lettres Modernes http://ab.joly.free.fr
------------------------------
Bonjour, cher Benoit, Merci pour le Faux Identique et VOIX. J'ai fait plus que parcourir. Il y a là une voix, un ton, un talent. Je crois que vous êtes un écrivain, j'en suis certain. Pour le site, j'admire beaucoup, car vous me dépassez de beaucoup. Pour la publication, il faut rechercher encore et encore un éditeur digne de ce nom. Le meilleur moyen peut être de le trouver est de faire un détour par les revues. Il faudrait voir à cela... Bonne chance, en tous cas, vous le méritez. Trés cordialement, Pierre. Pierre PERRIN écrivain, critique littéraire à la NRF, Lauréat du Prix du Livre Comtois 2002, Enseignant la Littérature, ex président de l'Alac. http://perrin.chassagne.free.fr
---------------------------------
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
LE FAUX IDENTIQUE - Le Faux Identique ! est un vrai-faux premier roman. Si ce texte de Benoît Deville est le premier édité à compte d'éditeur, d'autres textes ont été écrits et auto-édités depuis longtemps déjà. Tout commence par un suicide. Un homme, après avoir réglé sa note dans un restaurant, se tire une balle dans la tête. Pendant ce temps, tandis qu'une jeune Lolita se confronte à la chair triste, la police recherche un tueur en série. D'emblée Benoît Deville impose un style bien à lui et un univers qui n'est pas sans rappeler celui de la littérature cannibale italienne : mélange d'érotisme, de polar métaphysique et de coups de gueule à l'encontre d'une société bien formatée. Les personnages, engagés dans une course poursuite morbide et mortelle, sont entraînés dans une spirale boueuse et sanguine avant d'être conduits vers la sortie : le siphon. Sans repentirs, sans atermoiements, l'héroïne de ce roman règle tout à coups de lame — le « tranchant des chaînes ». La solution semble simple pourtant : il suffirait de ne jamais croiser la route de cette Lolita, d'éviter les auto-stoppeuses et de ne jamais héberger chez soi une inconnue. Mais comment savoir qui manipule qui ? Car derrière ces scènes sadiques, l'auteur ne chercherait-t-il pas à nous dire autre chose. Ces âmes noires ne cachent-elles pas un manque : quête du père, perte d'affection ou trop bruyante solitude ? Benoît Deville vit à Besançon. Tous ses autres textes (poèmes, nouvelles, romans...) peuvent être consultés sur son site : http://www.benoitdeville.com CRL de Franche Comté - Christophe GROSSI janvier 2004.