Arthur-Louis Cingualte, le lundi 16 août 2010 sur le blog des éditions Léo Scheer Benoît, Je viens de commencer votre Spectral. Je m’arrête ici, en pleine lecture pour vous livrer quelquesvmots. Rien de très objectif forcément.Vous dîtes enfant du rock et du cinéma. Dès les premières pages de votre manuscrit jevois-et c’est à titre de compliment et courbettes princières -je sens, les premiers albums de Nick Cave (haut, très haut dans mon panthéon) et Dewaere chez JimThompson.Et plein d’autres choses que j’affectionne tant dans l’esthétique du poisseux, du sinistre hilare. Voilà, il est tard, mais je me suis convaincu que, peut-être, aimeriez-vous ces sensations. Dans tout les cas je le dévore, votre texte. Et m’excuse de ce commentaire délié.
C'est comme la lecture d'un tableau : on y voit une part de l'auteur, des événements extérieurs qui l'ont modelé, de soi-même.
Les sensations, les réflexions, les sentiments exprimés se partagent en accords tacites, reflets d'une humanité forte, décadente, en marche sur une roue dont il faut s'échapper... ensemble.
Anne Torchet
Hello les amies, amis de la littérature.
Voici mon ressenti sur le roman de Benoit Deville .
Brisures.
A avoir dans sa pal.
Une jolie découverte.
Bel après-midi.
J’ai relu avec plaisir le livre Cendres de Benoit Deville.
J’ai le sentiment que je pourrais le relire encore et encore et que je trouverais toujours des perles que je n’ai pas encore vues.
Je trouve l’écriture de Cendres un peu plus difficile à comprendre que celle de Brisures ; sans doute par le fait que l’auteur a beaucoup plus utilisé de narration poétique, dans son style très particulier, que j’apprivoise un peu plus à chaque fois.
Moi qui adore regarder des séries policières, je serais heureuse si ce livre était adapté en film, car il répond à tous les critères que j’aime : une intrigue bien ficelée et une chute à laquelle je ne m’attendais pas, à ma première lecture.
Marie-aimee Dupré
Spectral : Proman III
Brisures
Cendres
Big bang renouveau ; proman VI
Peins la pluie
Litanie
L'endormi
Le faux identique
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