L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Personnage tragique comme Quasimodo dans "Notre-Dame de Paris", burlesque comme Pulcinella de la Commedia dell'arte, dieu bienveillant sous les traits de Bès en Égypte ou serviteur bouffon et privilégié des rois dans les cultures précolombiennes, le bossu assume aussi le rôle d'importun ou de tourmenteur dans les comptines ou de sauveur dans certains contes. Parfois, cette ambivalence, ces attributs paradoxaux le rapprochent de la figure du nain à qui il ressemble. Ces diverses facettes sont étudiées par Monica Malamoud qui spécifie : « La bosse n'est pas uniquement un symbole de fardeau à porter, de maladie et de malédiction. Avec sa forme de boule, elle représente aussi une image de la terre. » Et même de la « totalité ». Car, si le bossu porte le poids de l'existence terrestre sur son dos, il crée aussi le lien entre l'existence sur terre et l'aspiration spirituelle.
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