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Le berceau

Couverture du livre « Le berceau » de Fanny Chesnel aux éditions Flammarion
  • Date de parution :
  • Editeur : Flammarion
  • EAN : 9782081447899
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Joseph fabrique le berceau de sa première petite-fille, lorsqu'un coup de téléphone l'interrompt. Un crash d'avion : son fils dedans, son gendre aussi. Et la petite alors ? Sauve, bien vivante ! Prête à naître, car grandissant dans le ventre d'une mère porteuse canadienne choisie par le couple... Voir plus

Joseph fabrique le berceau de sa première petite-fille, lorsqu'un coup de téléphone l'interrompt. Un crash d'avion : son fils dedans, son gendre aussi. Et la petite alors ? Sauve, bien vivante ! Prête à naître, car grandissant dans le ventre d'une mère porteuse canadienne choisie par le couple homosexuel. Joseph n'a jamais foutu les pieds hors de sa Normandie natale, il a passé sa vie dans une ferme, vendu ses vaches, enterré sa femme : il n'a plus que cette enfant en tête. Alors il part. À la rencontre de la minuscule promesse qui prolonge l'existence de son fils. À la rencontre de la jeune étrangère, farouche et indomptable, qui la couve. Rien n'est simple dans cette histoire, mais il se lance, à plein régime, dans une réinvention audacieuse et poignante de la famille contemporaine.

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Avis (22)

  • Un roman qui aborde des sujets d'actualité et pas facile en ce moment. Ce livre parle de la maternité et paternité. Et plus de la grande paternité : Joseph est un taiseux normand, qui vient de perdre son fils dans un crash aérien. Son fils et son compagnon avaient avant de mourir décider...
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    Un roman qui aborde des sujets d'actualité et pas facile en ce moment. Ce livre parle de la maternité et paternité. Et plus de la grande paternité : Joseph est un taiseux normand, qui vient de perdre son fils dans un crash aérien. Son fils et son compagnon avaient avant de mourir décider d'adopter un enfant, conçu par GPA. La mère porteuse avait signé un contrat avec eux, elle vit au Canada. Joseph, veuf depuis peu, décide alors d'aller rencontrer cette jeune femme et rencontrer alors sa future petite fille. Un livre avec un sujet d'une actualité et qui est d'un sujet délicat. Fanny Chesnel aborde donc un sujet osé et qui peut être sujet de polémique. Un mélange de sujets délicats et dans l'air du temps : Joseph est un ancien paysan, qui n'avait pas le temps de s'occuper comme il faut de ses enfants, un crash aérien et les recherches des responsabilités, des couples homosexuels et leur volonté d'adoption et la GPA et PMA… Un peu mitigée face à cette lecture car trop d'invraisemblance dans l'histoire. Et je n'ai pas été emballée par l'écriture, elle-même, des phrases en anglais non traduites (le fils de Joseph et son compagnon vivaient aux Etats Unis, essai de traduction des emails par le père, pas bilingue) et en québécois (puisque la mère porteuse est québécoise et peut être très en verve dans ses propos. Malgré des passages intéressants et des personnages touchants, je n'ai pas été emballée par cette lecture. Merci à Version Femina et aux éditions Flammarion pour la découverte de ce livre.

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  • A l'instar de quelques voix dissonantes, ce roman qui m'a particulièrement séduite dans ses premiers chapitres (notamment le tout premier où Joseph termine le berceau pour sa petite-fille, qui est magnifiquement écrit et touchant), m'a ennuyée à partir du moment où Joseph arrive au Canada et...
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    A l'instar de quelques voix dissonantes, ce roman qui m'a particulièrement séduite dans ses premiers chapitres (notamment le tout premier où Joseph termine le berceau pour sa petite-fille, qui est magnifiquement écrit et touchant), m'a ennuyée à partir du moment où Joseph arrive au Canada et rencontre Abigail. le thème de la parentalité homosexuelle, de la mère porteuse, et l'angle utilisé par l'auteur pour le traiter (que se passe-t-il dès lors que le couple censé accueillir ce bébé porté par une mère porteuse, sans encore aucune "filiation", disparait tragiquement ?) me semblait vraiment intéressant. Malheureusement, le sujet n'est finalement pas traité, et l'histoire prend une tournure trop légère, trop invraisemblable pour y trouver finalement vraiment de l'intérêt. Dommage car l'écriture des premiers chapitres était prometteuse.

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  • Une histoire bouleversante qui nous offre une belle leçon d'amour. Comment faire pour retrouver sa petite fille qui est en gestation de l'autre côté de l'Atlantique alors que son fils est mort et qu'on habite en Normandie?
    C'est à cette question que l'intrigue du Berceau tend de répondre.

    Une histoire bouleversante qui nous offre une belle leçon d'amour. Comment faire pour retrouver sa petite fille qui est en gestation de l'autre côté de l'Atlantique alors que son fils est mort et qu'on habite en Normandie?
    C'est à cette question que l'intrigue du Berceau tend de répondre.

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  • Emmanuel et Béranger, un couple d’homosexuels en mal d’enfant, ont recours à une mère porteuse au Canada
    Malheureusement, lors d’un voyage, leur avion disparaît en mer.
    Joseph le père d’Emmanuel quitte sa Normandie pour se rendre au Canada à la recherche de la mère porteuse.
    Le temps m’a...
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    Emmanuel et Béranger, un couple d’homosexuels en mal d’enfant, ont recours à une mère porteuse au Canada
    Malheureusement, lors d’un voyage, leur avion disparaît en mer.
    Joseph le père d’Emmanuel quitte sa Normandie pour se rendre au Canada à la recherche de la mère porteuse.
    Le temps m’a semblé très long à cette lecture !
    L’histoire n’est pas inintéressante, mais mon enthousiasme était constamment freiné.
    Trop de phrases, trop de détails, trop de clichés.
    Certaines belles tournures, d’autres trop convenues.
    Un texte sans respiration où le lecteur peine à reprendre son souffle.
    Et puis, agaçant aussi cette manière de toujours nommer Joseph de manière différente : le normand, le manchot, le français, l’agriculteur, Nachu, le Bichon, le retraité, l’ancien éleveur, le Contentinois……..
    Bref, mon sentiment est plus que mitigé.

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  • Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un roman contemporain lumineux et porteur d'espoir, d'un roman qui nous parle de la vraie vie et des sentiments humains avec beaucoup de fraîcheur, et une sincérité désarmante aussi. Je vais vous inviter avec ma critique...
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    Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un roman contemporain lumineux et porteur d'espoir, d'un roman qui nous parle de la vraie vie et des sentiments humains avec beaucoup de fraîcheur, et une sincérité désarmante aussi. Je vais vous inviter avec ma critique à vous laisser emporter par Le berceau de Fanny Chesnel, une jeune autrice que j'ai découvert avec un immense plaisir grâce à ce livre qui sait nous prendre par la main et nous rassurer, sans pour autant nous bercer d'illusions. Comme je vous l'ai dit un peu plus tôt, ce titre nous parle de la réalité, sans chichis ni artifices. Cette réalité peut nous frapper de plein fouet, nous faire mal, nous forcer à nous réveiller et à faire face à un monde qui nous dégoûte, dans lequel on ne trouve généralement pas notre place. Mais elle peut aussi avoir un petit goût de miracle, qu'il faut prendre le temps de savourer à chaque seconde qui passe. Et je remercie infiniment le site lecteurs.com pour l'envoi de ce livre. Cette piqûre de rappel fut salvatrice.

    Pour commencer, ce que j'ai énormément aimé avec ce roman, c'est la manière dont il est écrit. Non seulement on vit l'histoire à travers les yeux de Joseph, un retraité pas comme les autres qui s'est très vite fait une grande place dans mon petit cœur, mais en plus, j'avais l'impression d'avoir constamment accès à ses pensées en temps direct. C'était comme si je lisais littéralement son flot de pensées, c'est le cas de le dire. Enfin, presque, car Fanny Chesnel y met tout de même les formes. Si cela avait été écrit de façon toute spontanée, sans même corriger le premier jet comme pouvaient le faire d'immenses auteurs comme Virginia Woolf ou James Joyce, qui ont justement instauré le fameux principe du "stream of consciousness", j'aurais trouvé cela brillant mais aussi sûrement passablement indigeste. Ici, on suit ce qui se passe dans la petite caboche tourmentée de mon cher Joseph sans que l'on se sente perdu ou agacé. Juste profondément fasciné par la manière de réfléchir de cet être humain d'apparence insignifiant mais qui va accomplir de grandes et belles choses.

    En effet, Joseph pourrait être M. Tout-le-monde, et c'est justement le rôle qu'il a joué une bonne partie de sa vie durant. Ce qui fait toute la différence avec Le berceau, c'est qu'à aucun moment l'autrice ne se permet de juger le personnage principal de son intrigue, de faire preuve de condescendance. Au contraire, elle traite son évolution avec énormément de tendresse et de sensibilité. Joseph m'a fortement rappelé le protagoniste décrit dans la superbe chanson des Innocents, Un homme extraordinaire, exception faite que l'on délaisse ici la Bretagne, son Finistère et ses longues plages de silence pour la beauté brute de pomme et sans fard de la Normandie. Joseph est tel l'homme dépeint dans les paroles extrêmement vraies et pleines de justesse de ce morceau : on se demande sérieusement si l'on se souviendra un jour de lui, de cet homme dont le seul exploit a été de construire sa vie autour de sa famille et des bêtes dont il a toujours pris soin dans sa ferme qui sent bon l'amour du bien fait et du solide. Eh bien moi, je peux vous assurer que je ne suis pas prête d'oublier Joseph. Cela serait fortement difficile et je n'en ai même pas la moindre envie. Je suis tombée amoureuse de la simplicité d'être profondément touchante de ce vieil homme éprouvé par la vie et par la perte, comme tout un chacun, de son petit côté taciturne irrésistible dans lequel je me suis beaucoup reconnue, et surtout de la façon dont il se sert de ses cinq sens. Joseph, dans sa façon d'être, vit profondément les choses, même celles les plus élémentaires, et, à travers lui, j'avais la sensation que ma vue s'était accrue, que mon ouïe s'était affinée, que mon toucher était plus alerte, que mon odorat était plus éveillé, que les choses de l'existence avaient plus de saveur. C'était comme si mon environnement, ou plutôt le sien, me paraissait plus lumineux, plus attirant, plus vibrant, plus savoureux, plus palpable. Il y avait définitivement quelque chose en plus, quelque chose d'indescriptible que Joseph m'a permis de ressentir, comme si cet éclat de magie que l'on recherche tous à un moment donné était à portée de main au cours de ma lecture. Cela n'a duré qu'un bref instant, le temps que je dévore ce livre et que j'atteigne à vitesse grand V son point final, à regret, mais cette étincelle était là. Elle a brillé, j'ai pu l'apercevoir, la ressentir au plus profond de mon être. En réalité, elle a toujours été là, et c'est Joseph qui me l'a rappelé. Je lui en serai toujours infiniment reconnaissante.

    Ce récit est aussi teinté de nostalgie, une nostalgie qui broie notre cœur dans son étau mais qui panse aussi les blessures les plus béantes. Ces moments où Joseph se souvient de son fils qui était à la fois si différent de lui et dont il était tellement fier m'ont touchée en plein cœur. J'ai trouvé cela très fort car ces flashbacks qui ont un goût amer de bonheur perdu à tout jamais sont notre unique moyen de nous rapprocher d'Emmanuel, le fils bien-aimé qui a rejoint les étoiles, ou plutôt les profondeurs insalubres de l'océan Atlantique. En effet, en tant que lecteur, on ne rencontrera jamais cet homme accompli et qui se préparait à être un père formidable en chair et en os, si je peux m'exprimer ainsi. Il ne vit qu'à travers les instantanées que Joseph garde précieusement de lui dans sa mémoire, ces moments de vie commune, ces instants capturés aussi puissants et captivants que la plus époustouflante des magies. Et cela suffit. Cela suffit à nous faire ressentir tout l'amour que ce père taciturne, un peu rabougri, profondément touchant avait, a toujours pour son fils prodige. Cela suffit pour que nous entrapercevions le véritable Emmanuel, l'enfant rêveur, meilleur ami des livres et de tout leur savoir, baroudeur-en-devenir au cœur grand comme ça et à la volonté de titan. Surtout, cela nous rappelle l'amour qui nous étreint le cœur quand l'on songe à sa propre famille et à la préciosité de ce lien qui nous unit à elle, un lien qui demande à être soigneusement entretenu car il peut se briser en un instant, qu'on l'ait décidé ou non.

    Concernant les deux autres personnages principaux de ce récit, ils ne sont pas non plus en reste. J'ai tout simplement adoré ce trio de choc qui se consolide progressivement, dont les trois membres apprennent à se connaître petit à petit, à se pardonner aussi les erreurs que chacun a pu faire par le passé pour mieux regarder vers l'avenir ensemble. Si Abigail, la fameuse mère porteuse, m'a pas mal agacée au début, je me suis vite rendue compte que je me permettais de la juger sans aucun scrupule, alors que son estime de soi est déjà faible et qu'elle essaye de s'en sortir comme elle peut. Ce roman m'a aussi appris à regarder au-delà de mon petit nombril, et je pense que c'est un travail auquel on doit tous s'exercer chaque jour de notre vie, qui que nous soyons. Mon plus gros coup de cœur va à l'enfant d'Abigail, Ava, cette petite fille qui est définitivement la chair de sa chair et qui m'a impressionnée de par sa déconcertante maturité, qui contraste singulièrement avec l'innocence et la joie de vivre qui se dégagent de ce si jeune être.

    Pour conclure, je vous invite tous chaleureusement à plonger dans la lecture du Berceau, à faire la démarche de suivre Joseph, mon cher petit Bichon, dans son aventure trépidante en Acadie, région canadienne aux souches françaises que j'avais adoré étudier en cours et que j'ai été ravie de retrouver au cœur de ce récit. Ce qui fait surtout plaisir à voir, c'est cette communauté unie qui continue de célébrer ses racines, ses traditions immuables qui rendent ses membres à part, qui construisent leur identité, qui leur apportent félicité et fierté au quotidien, même quand ils l'oublient, ce qui arrive bien trop souvent. Cela résume bien le principal message véhiculé par ce roman : ne jamais oublier d'où l'on vient, toujours garder l'esprit ouvert et se soutenir les uns les autres. Il y a toujours une famille qui nous attend quelque part...

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  • Offert par lecteurs.com, ce fut, une très jolie lecture.
    On pourrait presque la cataloguer de lecture feel-good mais ce serait trop réducteur car cette histoire mêle légèreté et gravité. La situation de départ est difficile, le deuil ébranle profondément le personnage principal. Mais une...
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    Offert par lecteurs.com, ce fut, une très jolie lecture.
    On pourrait presque la cataloguer de lecture feel-good mais ce serait trop réducteur car cette histoire mêle légèreté et gravité. La situation de départ est difficile, le deuil ébranle profondément le personnage principal. Mais une petite lueur d'espoir émerge très vite, à laquelle il va s'agripper, obstinément.
    Les personnages principaux sont particulièrement attachants bien que très opposés dans leur caractères.
    J'ai aimé toute la tendresse et la douceur qui émanait de cette histoire et le thème de la filiation et du lien familial qui se tisse, parfois au delà des liens du sang.
    Merci lecteurs.com pour cette belle découverte.

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  • Gagné à lecteurs.com, merci ainsi qu'aux éditions Flammarion.
    Un peu plus de soixante ans, veuf, fermier retraité, Joseph fabrique un berceau pour sa future petite-fille que son fils et son compagnon sont partis chercher au Canada. L'avion s'est crashé, pas de survivant. Joseph est accablé mais...
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    Gagné à lecteurs.com, merci ainsi qu'aux éditions Flammarion.
    Un peu plus de soixante ans, veuf, fermier retraité, Joseph fabrique un berceau pour sa future petite-fille que son fils et son compagnon sont partis chercher au Canada. L'avion s'est crashé, pas de survivant. Joseph est accablé mais il se met à penser au bébé encore bien au chaud dans le ventre de la mère porteuse; il y a là un peu de son fils à travers sa semence. Il décide de trouver cette femme et part au Canada. Mais Abigail est particulière, elle est très jeune et a déjà une enfant; elle a seulement voulu rendre service mais le devenir du bébé l'indiffère...elle ne voit pas pourquoi Joseph, déjà vieux aurait priorité sur un couple désireux d'adopter.
    Les relations sont conflictuelles, Joseph est têtu...il épousera la jeune femme s'il le faut mais il veut l'enfant de son fils.
    J'ai hésité entre 3 et 4 étoiles; ce livre m'a intéressée, sans plus.

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  • Joseph est un agriculteur à la retraite qui vit en Normandie. Le roman s’ouvre sur une scène touchante dans laquelle il fabrique un berceau pour sa petite-fille à venir. Un coup de téléphone bouleverse alors sa vie. L’avion dans lequel voyageait son fils ainé s’est écrasé, ne laissant aucun...
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    Joseph est un agriculteur à la retraite qui vit en Normandie. Le roman s’ouvre sur une scène touchante dans laquelle il fabrique un berceau pour sa petite-fille à venir. Un coup de téléphone bouleverse alors sa vie. L’avion dans lequel voyageait son fils ainé s’est écrasé, ne laissant aucun survivant. D’un seul coup, Joseph perd son fils et son gendre. Un petit être, pourtant, est rescapé de ce drame, sa petite-fille portée par une mère porteuse au Canada. Joseph décide alors d’avoir une place dans la vie de cette enfant. Il prend contact avec la mère porteuse qui, elle, ne l’entend pas de cette oreille. Joseph s’envole pour la rencontrer et tenter de la faire changer d’avis.

    Je suis très ennuyée pour donner mon avis sur ce roman que j’ai gagné sur lecteurs.com et que je désirais absolument lire. J’ai apprécié l’idée de départ qui est très originale et les premières pages qui livrent le portrait d’un homme touchant. Les thématiques abordées dans le roman auraient pu également être intéressantes : la parentalité des couples homosexuels et le recours aux mères porteuses, le deuil,…

    Mais j’ai été très gênée par le style de l’écriture. C’est difficile à expliquer mais je l’ai trouvé répétitif et « plat ». Il y a beaucoup de longueurs d’incohérences et de clichés. J’ai eu beaucoup de mal à terminer ce roman, même si je l’ai terminé pour connaitre la fin de l’aventure de Joseph. Je suis donc déçue par ma lecture, mais cet avis n’engage que moi puisque je crois que le roman a reçu un bel accueil.

    Merci aux éditions Flammarion pour cette lecture.

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