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Sauf rares exceptions, aussi bien dans le documentaire que dans la fiction, le cinéma n'est pas parvenu à pénétrer dans ce monde intérieur riche de conflits et de mystères montrant une Sicile tantôt inventée, tantôt faussée et tantôt transfigurée, des fragments d'un univers faux, non réel, donc raconté et non vécu. En effet, le cinéma italien a alimenté des mythes et des stéréotypes, des clichés et des préjugés qui ont nourri l'imaginaire en conjuguant savamment les exigences du spectateur et celles de l'industrie culturelle avec notamment les films à sketches, arme de la comédie à l'italienne des années 1960 aux années 1980 où les Siciliens ont du mal à se reconnaître entre les figures du macho, celle du mafieux ou celle de la femme sicilienne en habits traditionnels.
La réconciliation de la Sicile cinématographique avec ses réalisateurs autochtones date de la fin des années 1980 et c'est Giuseppe Tornatore qui a ouvert la voie avec le film « Nuovo cinema Paradiso » (« Cinéma Paradiso », 1989) pour lequel il a reçu de nombreuses récompenses dont le grand prix du jury au Festival de Cannes.
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