Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Ce livre n'est pas contre le cinéma. Il décortique les rouages d'un phénomène planétaire dont l'influence s'exerce sur tout un chacun. D'après Stéphane Zagdanski, cette gigantesque machine à illusion n'a jamais été pensée de façon critique. Il nous livre une réflexion se déployant de Platon jusqu'à Matrix , en passant par les frères Lumière, Godard et CNN. L'industrie cinématographique réduit le spectateur à une instance passive, médusée. Les cauchemars et les rêves que l'image suscite, s'incarnent en des corps modulables à merci par le Politique, l'Économique, l'Esthétique et
l'Idéologique. Serait-ce que cette machinerie de l'écran fait écran, que la toile voile nos vérités individuelles oe
La Mort dans l'oeil risque de déranger bien des routines d'exaltation réflexe. « Certes, on a le droit d'aduler ce qui vous manipule, mais qu'on n'espère pas être appelé d'un autre nom que celui d'esclave. »
Au commencement était le verbe. L'image aura-t-elle le mot de la fin oe
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Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
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