"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Si tous les ans la traversée des six cent trente milles qui séparent les côtes australiennes de la Tasmanie réserve des surprises, la course de 1998 allait se révéler la plus dangereuse, la plus meurtrière.115 voiliers au départ parmi les plus beaux et les plus sophistiqués du monde, tels celui de Larry Ellison, le patron d'Oracle, le Sayonara, le Brindabella, le Sword of Orion, le Winston Churchill... et seulement 43 à l'arrivée.Bruce Knecht raconte, heure par heure, la montée en puissance de la tempête, les vagues gigantesques, la plus grande opération de sauvetage jamais organisée en Australie, l'héroïsme de certains, le vertige des autres. Mais surtout, grâce aux multiples témoignages - du simple matelot au chevalier d'industrie -, on comprend que, pour tous ceux qui ont survécu à cette tragédie, aucun ne verra plus jamais la vie - sa vie - de la même façon.G. Bruce Knecht est le correspondant du Washington Post à Hong Kong. Il est membre de plusieurs Yacht club. Pour écrire ce livre - que l'on compare à La Tempête de Sebastien Junger - il a interviewé les participants à la Sydney-Hobart de 1998.
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