"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Alors qu'il s'apprête à vivre le plus beau moment de sa vie avec la naissance de sa fille, Antoine est confronté au plus horrible des drames : la mort de sa femme durant l'accouchement. Anéanti par la perte de celle qu'il aimait plus que tout, Antoine a du mal à créer du lien avec son bébé jusqu'à ce qu'il embauche Rose, une pétillante jeune femme à l'irrépressible joie de vivre, pour s'occuper du nourrisson. Parviendra-t-elle à aider Antoine à se révéler comme père et à se reconstruire ?
Ça faisait un petit moment que je n'avais plus lu cette autrice et je me suis rappelée pourquoi avec ce roman... C'est gentil, plein de bons sentiments mais je n'en retiens pas grand-chose une fois le livre refermé.
Il m'a fallu une semaine pour en venir à bout. Malgré un sujet très triste, je n'ai pas été émue pendant ma lecture.
J'ai eu l'impression de survoler les évènements tout en restant très indifférente. J'ai trouvé ça assez gnangnan et prévisible.
Les dialogues étaient sans saveur et tout était trop cliché à mon goût ! Il y a une suite que je ne lirai donc pas.
Vous avez été nombreuses à me conseiller son dernier roman. Alors qui sait, peut-être un jour, retenterai-je le coup ?
Comment ne pas tomber sous le charme de l’écriture de Laure Manuel ? Elle décrit si bien les émotions de cet homme désemparé et tiraillé entre son nouveau rôle de père et celui de veuf … et cette triste situation causée par la même personne … sa petite Lou…
C’est toujours avec de l’appréhension que je commence un roman qui a un début si tragique … mais c’était sans compter sur le talent de Laure ! Elle traite avec brillot cette histoire de résilience et nous démontre comment il est possible après un tel drame de se relever et de sourire de nouveau à la vie ! Alors, oui … j’ai versé quelques larmes à plusieurs reprises mais merci Laure pour cet émouvant roman, un véritable plaidoyer pour « voir le verre à moitié plein » et Rose incarne bien cette philosophie qui me plaît tant !
Même si on devine la fin de l'histoire dès le début, l'auteur a su trouver les mots et les enchaînements pour nous entraîner au rythme de son roman sans jamais avoir envie de le lâcher. Elle nous fait ressentir tout l'attachement qu'elle a eu pour ses personnages. C'est un roman doux et généreux.
J'ai lu ce roman après " le sourire des fées " donc aucune surprise puisque je connaissais la suite .
Deux romans qui se lisent très vite qui abordent des sujets intéressants , le deuil , la reconstruction, la famille .
Lecture facile qui a le mérite de détendre .
Je l'ai lu parce qu'on me l'a donné et que je le voyais beaucoup sur mes sites littéraires. Il se lit vite heureusement car des les premiers chapitres on connaît la fin. C'est plat et surtout c'est du vu et revu. Je ne comprends pas l'engouement pour cet auteur.
"Mais la solitude, quand elle est pleine et vivante, est aussi un cadeau"
L'histoire de ce roman est une histoire de vie, probablement traversée par de nombreuses personnes. Antoine est un homme d'un peu plus de trente ans, comblé, marié et bientôt père. Le 7 septembre sa femme, Raph, accouche d'une petite fille, Lou... commence dès lors la descente aux enfers
Ce roman est une histoire de deuil, de reconstruction et d'apprentissage du lâcher prise (ou résilience). J'ai aimé découvrir le parcours de cette famille, j'ai aimé découvrir les personnages, leur façon d'appréhender les embûches de la vie. Néanmoins, malgré la gravité de l'histoire, j'ai trouvé que le scénario était par moment monotone, fortement prévisible et qu'il manquait de peps aux personnages, principalement à celui de Rose (la baby-sitter de la famille). C'est un personnage frais, pétillant mais dont le parcours de vie n'est pas suffisamment mis en relief
En somme, un roman intéressant, doux, plein d'espoir qui aurait mérité davantage de véracité dans les sentiments
J’ai lu ce livre en 2 soirées, tellement j’ai été embarquée. Il me restait plus que quelques pages ce matin que je l’ai fini à la pause café. Vive le télétravail
J’ai découvert cette auteure l’année dernière avec son livre « L’ivresse des libellules ». J’avais déjà énormément accroché à ce groupe d’amis partant en vacances tous ensembles. Pas de drame, juste de l’ordinaire. On n’évite pas les crises on les surmonte...
Avec ce deuxième roman, « La mélancolie du Kangourou » on se retrouve embarqué par Rose, Lou, Antoine et Raphaelle (et tellement d’autres personnages...)
Antoine, 36 ans, devient père et veuf le jour de la naissance de sa petite fille Lou.
Simone, sa mère, se rend rapidement compte qu’Antoine ne pourra pas s’occuper de sa fille. C’est dans ces conditions que Rose débarque dans la vie quotidienne de cette famille en s’occupant de la petite Lou.
En toute douceur, ce roman aborde des questions existentielles sur le deuil postnatal, la reconstruction et l’amour paternel en toile de fond de résilience.
J’ai été touchée par la douceur des mots et de ce magnifique hommage à la vie après la mort.
Je vous le conseille fortement.
La naissance de son premier enfant bouleverse tout. Antoine se retrouve seul avec un bébé. Pour gérer il fait appel à une babby-sitter.
Un roman « feel good » sans aucune surprise mais qui a eu le mérite de me détendre. J’ai pu lire à grande vitesse comme j’aime, surtout que je venais de terminer laborieusement juste avant un roman à caractère historique qui ne m’avait pas passionné
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