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La Malédiction du chat hongrois est une histoire de femmes. Paula, la courtisane de la mort, Irène, la veuve en colère, Magnolia, à qui Yalom rêve de confier ses propres tourments, Momma, la mère nourricière... Ces femmes auprès de qui le docteur Yalom n'a jamais eu peur de s'exposer, afin de mieux apprendre d'elles. Ces femmes que le docteur Yalom a aimées et qui ont marqué sa vie de thérapeute. Six récits où il explore l'âme humaine et le lien entre patient et thérapeute. Six récits, de la réalité à la fiction, où le docteur Yalom fait peu à peu place à Irvin D. Yalom, l'écrivain de Et Nietzsche a pleuré.Ce qui se passe -réellement- dans un cabinet de psy. Jubilatoire ! Pascale Senk, Psychologies Magazine.Yalom excelle à rendre ses histoires aussi passionnantes qu'un polar. Patrick Williams, Elle.
L'auteur raconte quelques expériences vécues en tant que psychanalyste, lors de groupes de paroles notamment. il a rencontré parfois des femmes d'exception et leurs histoires nous sont relatées.
Les deux derniers récits sont par contre issus de la tête du romancier, sont donc irréels et il finit même par une histoire relevant du paranormal. Les différents cas sont attachants, tous autant que les autres.
L'auteur raconte quelques expériences vécues en tant que psychanalyste, lors de groupes de paroles notamment. il a rencontré parfois des femmes d'exception et leurs histoires nous sont relatées.
Les deux derniers récits sont par contre issus de la tête du romancier, sont donc irréels et il finit même par une histoire relevant du paranormal. Les différents cas sont attachants, tous autant que les autres.
De Momma, sa mère envahissante à la belle Artémis frappée par la malédiction du chat hongrois, en passant par Paula la solaire, atteinte d'un cancer en phase terminale ou Irène incapable de faire le deuil d'un mari trop tôt disparu, le psychanalyste Irvin Yalom raconte les femmes qui ont traversé sa vie professionnelle au cours d'un travail d'analyse, souvent long et fastidieux, mais riche d'enseignements pour lui comme pour ses patientes. En consultations privées ou lors de séances ponctuelles à l'hôpital public, le praticien s'est pareillement investi auprès de ces femmes, s'appuyant sur l'écoute, l'empathie, le lien crée.
Histoires tragiques, dures, poignantes confiées par un thérapeute qui est aussi un écrivain et qui raconte le long cheminement de ses patientes vers l'acceptation et la guérison. Le médecin des âmes, impliqué et empathique, sait se faire plus drôle et faillible quand il passe du réel au roman. Là, le docteur Yalom devient le docteur Lash, un praticien capable de détester une de ses patientes et de faire quelques entorses à la déontologie.
Mi-études de cas, mi-roman, cette Malédiction du chat hongrois pêche par manque de cohérence. Les premières histoires nous plonge au coeur d'une profession difficile, le ton est explicatif, didactique, les cas sont évoqués sont sérieux et Yalom raconte en détail le processus de l'analyse et les résultats obtenus, tout en égratignant au passage le système de santé américain. Puis, dans les deux dernières, le thérapeute cède la place au romancier, le ton est plus léger, plus humoristique et c'est assez déstabilisant de passer de l'un à l'autre sans transition.
Finalement, ce livre hybride peut intéresser les adeptes de la psychanalyse mais s'avère assez ennuyeux si on n'a pas le goût pas cette pratique. Avis mitigé.
Le titre, intrigant, est la couverture, très gaie, m’ont complètement séduite, et c’est avec un grand plaisir que j’ai ouvert le livre.
Je m’attendais à un roman. Je n’avais pas percuté qu’Irvin Yalom était l’auteur de « Mensonges sur le divan », donc que ça allait parler psychanalyse.
En fait, ce n’est pas un roman.
Le premier chapitre étant dédié à sa mère, les suivants se succèdent, brossant des portraits de femmes lors de leur psychanalyse.
J’ai sauté des pages, trop professionnelles.
Certes, Mr Yalom est un être plein d’écoute, d’empathie, de doutes, de questionnements. Il a foi en son métier. Mais j’ai trouvé ces témoignages assez lassants, même si j’ai éprouvé de la sympathie pour Paula et Magnolia.
Et puis, toujours pas de chat hongrois en vue. Ah, si, il faut attendre le dernier chapitre, qui, lui semble très romancé et m’a un peu plus intéressée.
Je n’ai jamais eu envie de faire d’analyse, et moins encore après cette lecture.
Une phrase d’un patient résume assez bien mon impression :
« J’ai l’impression qu’on tâtonne ensemble comme si on allait par hasard tomber sur la réponse »
Mais c’est un avis personnel et je ne nie pas que la psychanalyse puisse apporter de l’aide à bien des personnes.
J'ai trouvé ce roman très intéressant, 6 récits passionnants se succèdent. On tourne les pages sans pouvoir s'arrêter et l'auteur nous offre de multiples pistes de réflexions et de bonnes paroles pour qui sait les repérer. A mettre entre toutes les mains!
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