"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce roman a reçu le Prix littéraire des jeunes européens - Édition 2019 Comment exprimer l'indicible ? Quelle est la vraie nature du mal, et où trouve-t-il son origine ? Enfin, que signifie être juif ? Ce sont les questions que se posent Albert Vajs, Mia Volf, Solomon Levi et Urijel Koen, devenus amis lors d'un colloque international à New York. Leur point commun ? Ils sont originaires de l'ex-Yougoslavie et ont survécu à l'Holocauste dans des circonstances qui tiennent du « miracle ». Aujourd'hui, ils représentent la dernière génération de survivants. Un journal intime, des lettres, des confessions et des articles de la presse sont les indices qui permettent au lecteur de saisir les fils qui relient ces quatre destinées hors du commun ; il comprendra ainsi leur indispensable quête d'identité ainsi que le sentiment d'impuissance face au doute qui les obsède. Leurs interrogations reflètent l'oscillation permanente entre la nécessité / l'obligation de se souvenir et le désir d'oublier les atrocités perpétrées par les nazis. La Maison des souvenirs et de l'oubli a reçu en 2015 le prestigieux Prix NIN, l'équivalent serbe du Prix Goncourt. Postface de Marc-Alain Ouaknin. Ce roman a reçu le Prix littéraire des jeunes européens - Édition 2019 Comment exprimer l'indicible ? Quelle est la vraie nature du mal, et où trouve-t-il son origine ? Enfin, que signifie être juif ? Ce sont les questions que se posent Albert Vajs, Mia Volf, Solomon Levi et Urijel Koen, devenus amis lors d'un colloque international à New York. Leur point commun ? Ils sont originaires de l'ex-Yougoslavie et ont survécu à l'Holocauste dans des circonstances qui tiennent du « miracle ». Aujourd'hui, ils représentent la dernière génération de survivants. Un journal intime, des lettres, des confessions et des articles de la presse sont les indices qui permettent au lecteur de saisir les fils qui relient ces quatre destinées hors du commun ; il comprendra ainsi leur indispensable quête d'identité ainsi que le sentiment d'impuissance face au doute qui les obsède. Leurs interrogations reflètent l'oscillation permanente entre la nécessité / l'obligation de se souvenir et le désir d'oublier les atrocités perpétrées par les nazis. La Maison des souvenirs et de l'oubli a reçu en 2015 le prestigieux Prix NIN, l'équivalent serbe du Prix Goncourt. Postface de Marc-Alain Ouaknin.
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