L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Paru en 1937 aux Etats-Unis sous le titre An Inquiry into the Principles of the Good Society et traduit en français l'année suivante, La Cité libre n'a, malgré sa grande notoriété, jamais été republié depuis. On mesurera la nécessité intellectuelle de sa réédition en rappelant que son auteur, l'influent chroniqueur et réputé sociologue Walter Lippmann (1899-1974), a été une personnalité politique américaine de premier plan (conseiller du président Wilson, introducteur de l'expression " guerre froide "...), passé du socialisme au libéralisme dans une acception mi-américaine, mi-européenne. La Cité libre inaugure une critique conjointe du " despotisme collectiviste " de l'Etat-providence et des " illusions dogmatiques " du libéralisme économique de laissez-faire - au nom d'un " libéralisme renouvelé " à construire. L'écho rencontré par le livre a été tel qu'a été organisé à Paris fin août 1938 un " colloque Walter-Lippmann ", auquel participèrent déjà Hayek et Aron, et qui s'acheva sur la publication d'un " agenda du néolibéralisme ". Actuellement, un nombre croissant de spécialistes de philosophie et de sciences politiques français intéressés par les origines du " néo-libéralisme " voient dans La Cité libre et le colloque Walter-Lippmann le début d'une séquence fondamentale d'histoire des idées aux prolongements contemporains évidents.
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