L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Il était une fois deux enfants dans une grande maison près de la forêt de Compiègne, une fille et un garçon de treize et quinze ans. Elle voulait dire le monde avec les gestes, lui, l'écrire dans ses cahiers et se faire écouter d'un père absent - il l'aimait tellement qu'il en vint à se piquer au bras. Ils s'appelaient Clélie et Thomas.Au fond du parc et sur l'étang, un banc de sable retenu par quelques aulnes formait un continent pour l'enfance. A la lecture du Dernier des Mohicans, l'île avait rejoint le Nouveau Monde. Emplumée d'Indiens, centaures de bronze sur le sentier de leur guerre, de corneilles et d'un couple frileux de hérons cendrés, elle faisait face à la cabane aux écrevisses.Quatre cahiers bleus de Thomas constituent cet ouvrage.Philippe S. Hadengue est l'auteur de Petite chronique des gens de la nuit dans un port de l'Atlantique-Nord (Maren Sell, 1988, Prix du Livre Inter 1989), La Loi du Cachalot (Calmann-Lévy, 1993), L'exode (Pauvert, 1999), Quelqu'un est mort dans la maison d'en face (Pauvert, 1999), et Un Te Deum en Ile de France (Pauvert, 2001).La Cabane aux écrevisses a été publié aux Editions Maren Sell en 1989.« La Cabane aux écrevisses ne doit pas seulement être lue, elle exige d'être relue : (...) c'est un livre évident, c'est-à-dire un roman-poème dont les lectures n'épuisent jamais les mystères. » Pierre Lepape, Le Monde, 6 oct. 1989
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