"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au xixe siècle, les époux Pierre et Marie Martin, d'anciens fermiers devenus propriétaires et tenanciers de l'auberge de Peyrebeille, détroussent, avec la complicité de leur domestique Jean Rochette, surnommé « Fétiche », et de leur neveu André Martin, les voyageurs solitaires qui font halte dans leur établissement.La presse donna différents surnoms à « l'auberge de Pierre Martin », tels que « l'auberge rouge », « l'auberge sanglante », « l'ossuaire » ou encore le « coupe-gorge ».L'affaire débuta le 26 octobre 1831 lorsqu'on découvrit le cadavre d'un homme, le crâne fracassé et l'un des genoux broyé, sur les berges de l'Allier, à dix kilomètres de l'auberge...Le présent ouvrage, certainement le plus connu des livres de Paul d'Albigny, au-delà de son aspect historique, traduit une connaissance certaine du pays, de ses habitants et de ses moeurs. Soucieux de vérité, l'auteur intègre aux évènements la vie quotidienne des Ardéchois de cette contrée, soumis aux impératifs géographiques et aux aléas météorologiques.Il décrit les divers personnages de cette tragique histoire dans leur dimension non seulement physique, mais également psychologique, permettant au lecteur de comprendre les raisons pour lesquelles des crimes et des agressions ont pu se perpétuer impunément prendant de si longues années, jusqu'à ce que la justice passe et que la vie continue.
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