"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les États ne sont pas morts.
Contrairement à ce que prétendent certains acteurs privés, ils semblent même de plus en plus nécessaires. Les Banques Multinationales (BMN) sont-elles victimes de la globalisation financière ? Il faudrait nuancer : elles ont fortement contribué à son émergence et à sa diffusion. Mais ces acteurs ont évolué : les États ont changé en termes de nouvelle territorialité, souveraineté et légitimité, et les BMN sont devenues de plus en plus des intermédiaires de marché.
La globalisation financière est loin d'être une fatalité : replacée dans une perspective historique, elle est le résultat de stratégies délibérées d'acteurs. Vu ces évolutions, les rapports États - BMN ne pouvaient que changer : les nouvelles régulations économiques dans les secteurs financier et bancaire le reflètent bien. Qu'en est-il tout particulièrement dans l'Union Européenne, aux États-Unis et dans les Pays d'Europe centrale et orientale ? Par ce biais et de manière plus générale aussi, il s'agit d'expliquer qui sont les acteurs ayant mené à cette recomposition de la régulation et comment se fait la distribution du pouvoir dans la Société Internationale d'aujourd'hui.
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