"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le prochain monde est déjà là, alors que l'ancien n'a guère cessé. Comment s'ouvrir sans se laisser détruire ? Savoir. Car « toutes choses sont en feu ». Ouvrons notre conscience pour dominer le flux des choses, dotons-la d'une méditation : « l'homme est traversé par le monde. Il est lui-même un lieu et le lieu de l'exil permanent, puisqu'à la fois ce non-moi de l'âme soumis à tous les changements et cette présence fragile, mais tout aussi permanente. Témoin de ce toujours et partout, l'homme bouddhiste, le poète, Georges Duquin peut raconter le monde sous toutes ses formes et dans toutes les époques. Il y était, non pas en moi anecdotique, mais en homme universel et son grand poème est celui de l'homme qui devient universel, lorsqu'il renonce à n'être qu'un individu isolé dans sa seule histoire pour s'ouvrir à l'Histoire de tous. » (Claude Frochaux).« La terre est toujours souffrante ». La douleur témoigne de l'incomplétude de l'existence. Il est temps de savoir répliquer : « Ô ciel, pleut si tu veux » (Bouddha).Entré à l'ENA à 21 ans, Georges Duquin fut successivement affecté au ministère de l'économie et des finances, au poste de conseiller économique dans quatre ambassades, puis au ministère de la recherche où il créa le crédit d'impôt recherche. Il termina sa carrière au ministère des affaires étrangères comme ambassadeur de France à Bahreïn, après avoir activement participé à une série de négociations internationales sur le droit de la mer, l'Antarctique et la paix en mer Rouge.
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